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Réfléchir collectivement pour un plus engagement syndical remis à jour

Publié le : 4 juillet 2022

Afin de booster la réflexion de ses 250 représentants dans un moment charnière de la vie syndicale et de la vie en entreprise, un grand organisme s’est appuyé sur Occurrence pour l’aider à concevoir la partie collaborative au cœur de son Inter congrès. Un travail de réflexion en amont de cette réunion avec l’équipe de direction permettant :

  • D’identifier les thèmes clés qui aideront les militants à mieux aborder les changements en cours dans les organisations qu’ils doivent intégrer à leurs approches,
  • Construire des animations pour près de 20 ateliers proposés aux 250 participants qui se déroulaient en parallèle sur les 2 jours de l’inter congrès,
  • Former les animateurs de ces ateliers et intégrer des outils de réflexion nouveaux à l’habituelle approche des syndicalistes,
  • Mettre en place les futurs dispositifs qui permettront de suivre la bonne implémentation des actions définies lors de l’inter congrès…

Au cœur du sujet : permettre de mieux inscrire la parole syndicale dans les entreprises et le monde du travail d’aujourd’hui.

Le Communicator, c’est l’équipe de France de la communication

Publié le : 15 septembre 2020

A l’occasion de la sortie de la 9ème édition du Communicator, Assaël Adary a accordé à We Are COM une interview partagée. Au programme : transformation digitale, crise de la Covid-19, communication responsable et bien sûr quelques cas emblématiques qui ont marqué cette dernière année !

Retrouvez cette interview sur le site We Are COM

De l’étude de lectorat à la dynamique de refonte d’un dispositif

Publié le : 14 avril 2020

Notre client, ordre professionnel fédérant des entreprises totalisant plus de 130 000 collaborateurs, souhaitait faire le point sur son dispositif éditorial à destination de ses adhérents.

Dans un contexte de forte mutation du métier et de la nécessaire transformation digitale des adhérents eux-mêmes, la modernisation du dispositif, et le renforcement de sa capacité servicielle, apparaissaient pour la direction de la communication comme un défi majeur à relever. Conviction pleinement étayée par l’étude de lectorat et l’analyse des datas numériques du dispositif éditorial existant : ceux-ci ont clairement pointé l’opportunité d’augmenter la part de voix du dispositif en capitalisant sur sa marque phare, tout comme la nécessité de renforcer sa digitalisation et son marketing d’offre au risque de voir son lectorat s’éroder.

Amorcer un changement culturel au sein de ses équipes

Publié le : 14 avril 2020

Tout au long de l’année 2019, Occurrence a co-construit avec les équipes de la direction de la communication de la Matmut un Dashboard pour piloter et valoriser la performance de leurs actions. Ce travail a contribué à amorcer un changement culturel au sein de l’équipe grâce à la mise en place d’une gestion en mode projet plus transverse et orientée résultats tant qualitatifs que quantitatifs.

Les « rétro QSM »

Publié le : 17 juin 2019

Béatrice Mariotti, Vice-Présidente et Directrice de la Création Générale de l’agence Carré Noir, nous a fait le plaisir de revenir sur les réponses à nos QSM qu’elle a données il y a bientôt 13 ans.

Peut-on tout mesurer ?

2006 : C’est une tendance … La question est plutôt de savoir si l’on doit tout mesurer dans un contexte somme toute assez frileux ? La mesure peut être un outil précieux au service de la créativité et de l’audace, elle n’est hélas pas toujours exploitée à cette fin !

2019 : En quinze ans, la révolution digitale a profondément modifié la donne pour les entreprises, les agences et les consommateurs/citoyens.  Data, agilité du partage et de correction des données, conception collaborative et méthode itérative font désormais partie du quotidien méthodologique. Le flux a changé ! La mesure n’est plus un outil lourd de confrontation entre un point de départ et un point d’arrivée mais une source fluide d’ajustement.

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

2006 : Les instruments qui permettent de mesurer l’évolution du taux de transformation avant et après la mise en place d’un nouveau concept point de vente me semblent un bon indicateur de performance en ce sens qu’ils sont, dans un espace-temps donné, la résultante simple d’une alchimie complexe (la mise en résonance d’une multitude de signes et de stimuli).

2019 : Un créatif doit se nourrir de tous types de mesures mais à l’heure des algorithmes, il doit absolument continuer à cultiver un outil majeur : l’intuition.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise ?

2006 : Sur un plan graphique, j’aime le rythme 3. La cadence en trois temps qui génère une dynamique, une ouverture et une projection vers l’avenir : 1 2 3 …

2019 : Le chiffre 1 et le chiffre 7,7 milliards

• 7,7 milliards d’êtres humains sur notre planète dit l’urgence de nous accorder sur un destin collectif de citoyens du monde.

• 1, illustre l’ère de l’hyper personnalisation attendue par les consommateurs du 21e siècle qui entendent être traités à titre individuel par les entreprises et les marques. Deux chiffres, deux extrêmes intimement liés dans l’équation de notre société.

La révolution de l’intelligence artificielle dans le secteur des études

Publié le : 26 avril 2019

Le magazine Stratégies a publié un dossier sur l’impact de l’intelligence artificielle sur les instituts d’études. Il s’est intéressé à ce phénomène révolutionnaire en se penchant sur les mutations du secteur, et en essayant d’analyser les avantages que les acteurs pourraient en tirer.

Stratégies mentionne Occurrence en faisant référence au comptage des manifestants grâce aux caméras et à l’algorithme intelligent qui permet de compter le nombre de personnes avec une fiabilité certaine. Assaël Adary, Président d’Occurrence, fait notamment référence à l’atout que représente l’IA en matière d’analyses de données, permettant de croiser la source avec les données internes du client, pour obtenir un « meilleur relief des choses ».

Le dossier est disponible pour les abonnés ici.

Macopharma évalue la satisfaction de ses clients

Publié le : 25 septembre 2017

Macopharma est un acteur majeur international de la Transfusion, la Perfusion et la Biothérapie.
La division Transfusion de Macopharma a confié à Occurrence Healthcare une étude qualitative pour évaluer la satisfaction de ses clients, en France dans un premier temps. Quinze entretiens ont ainsi été menés auprès de collaborateurs de l’EFS.
L’étude a permis de mettre en lumière les forces de Macopharma perçues par ses clients : proximité, réactivité, professionnalisme, qualité du relationnel, souplesse et adaptabilité ont conduit les interviewés à évoquer un véritable partenariat. Quelques points de vigilance ont également été identifiés. Ces éléments viennent enrichir sa réflexion quant à l’optimisation de la satisfaction de ses clients français

Des visites Formation et Merchandising très appréciées par les pharmaciens

Publié le : 15 septembre 2017

Un grand laboratoire de produits d’automédication a créé une nouvelle force de vente afin de proposer des visites Merchandising et Formation aux équipes officinales.
Ce laboratoire a confié à Occurrence Healthcare la réalisation d’un bilan du premier cycle de visites depuis la création de cette force de vente. L’étude quantitative réalisée par Occurrence Healthcare auprès de 100 pharmaciens a démontré que ces visites sont bien mémorisées, très appréciées pour leur utilité et leur efficacité et qu’elles aident les officines à développer les ventes. Au final, la quasi-totalité des pharmaciens interrogés affirment qu’elles répondent bien à leurs besoins et attentes. Des résultats très encourageants donc pour cette nouvelle force de vente

Benoit Volatier : que devient-il ?

Publié le : 13 septembre 2016

VousBenoit Volatier l’avez connu coprésident d’Occurrence, en tandem avec Assaël Adary. Après s’être investi dans la diversification d’Occurrence ces dernières années, il a eu envie de se diversifier lui-même. Comment ? En assumant son grain de folie, en suivant ses envies et en mobilisant ses multiples talents, comme autant de facettes.

Désormais Benoit est entrepreneur  / investisseur / distributeur de lombricompost / consultant / opérateur de turbine à bonheur / legothérapeute / coiffeur pour chauves / acteur / masseur / accompagnateur de randonnée pédestre ou cycliste ou fluviale / …

En anglais ce métier se nomme « slasher » (slash est le nom de la barre de fraction, comme dans l’énumération ci-dessus). En français, on dirait multiactivités. Pour Benoit, c’est un mode de vie (professionnelle) basé sur l’enthousiasme, le mouvement et la confiance.

Vous avez un projet de start-up, quelques hectares à fertiliser, envie d’une rando-canoë sur la Loire ? Vous souhaitez le bonheur à vos collaborateurs, prendre une décision confortable ou un massage pour votre crâne chauve ? Benoit est joignable au 06 60 27 69 14.
Il aime aussi beaucoup les témoignages de sympathie : benoit.volatier@occurrence.fr (inchangée)

Les Français plébiscitent les acteurs de la nouvelle économie

Publié le : 15 décembre 2015

CINQUIÈME ÉDITION DE L’OBSERVATOIRE DE L’AUTHENTICITÉ : LES FRANÇAIS PLÉBISCITENT LES ACTEURS DE LA NOUVELLE ÉCONOMIE !

 

L’intégralité des données de cette étude, y compris le focus sur les entreprises de la nouvelle économie, sont à télécharger ici.

 

Rapport_Authenticite_2015_V2

Comment est perçue la communication de nos entreprises ? Quelle crédibilité apporter à leur discours ? Quelles leçons peut-on tirer de cette perception ? Quelles sont les entreprises dignes de monter sur le podium de « l’authenticité » ? Pour répondre à ces questions, Makheia et Occurrence ont lancé, en 2010, l’Observatoire de l’Authenticité au travers duquel chaque année les Français expriment leur cote d’amour à l’égard de la communication institutionnelle des entreprises.

 

Le Bon Coin, BlaBlaCar, Ventes-privées, Google, Amazon et Deezer sont les grands vainqueurs de cette cinquième édition de l’Observatoire de l’Authenticité Makheia – Occurrence. Pour la première fois les acteurs de l’économie digitale font leur entrée dans le palmarès de la confiance et devancent de loin les entreprises « traditionnelles ». Seule La Poste, tire son épingle du jeu en figurant parmi les 10 marques jugées les plus « authentiques »…devant Free et Microsoft.

 

Cette nouvelle édition révèle cinq grandes tendances :

1) Bonne nouvelle, on souligne une amélioration globale de la confiance envers les entreprises et leur communication. Même si celle-ci peine toujours à atteindre les 50% (46% précisément), la confiance est en hausse de près de 25% depuis son plus bas niveau de 2011.

 L’authenticité perçue des entreprises progresse ainsi depuis trois ans de façon continue.

 En terme d’analyse sectorielle, on souligne un capital d’authenticité plus important dans les secteurs de consommation associée au plaisir, tel est le cas des marques de grande consommation comme LECLERC et des technologiques, comme ORANGE ou FREE.

A l’inverse, le secteur énergétique ou encore les banques pâtissent d’une mauvaise image dont ils peinent à se détacher et restent, malgré une certaine amélioration, en queue de peloton depuis 5 ans. Les plus fortes progressions sont : PSA, AXA, SG, MAIF, BNP, ALLIANZ, SANOFI, ET ENGIE. Seules six entreprises progressent pour la deuxième année consécutive à savoir : PSA, RENAULT, ENGIE, BP, MAIF ET ORANGE

2) Les Français octroient toujours une prime à leur propre entreprise, avec près de 10 points d’écart. 60% d’entre eux jugent effectivement leur entreprise plutôt crédible.

3) Les jeunes actifs (20-30 ans) accordent toujours davantage de crédit aux entreprises que leurs ainés…avec plus de 40 points d’écart !

Aussi bien au global que sur les entreprises en particulier cette classe d’âge se montre d’une manière transversale et durable plus bienveillante. L’écart avec les quinquas ne cesse, en revanche, de s’accroitre soulignant une rupture de plus en plus marquée entre la confiance des jeunes salariés et une méfiance (irréversible ?) des salariés plus âgés.

4) Alors que les médias classiques demeurent « chahutés », le « média entreprise » est solidement ancré dans le paysage des sources d’information. Les Français lui témoignent désormais un niveau de confiance équivalent à celui de la télévision ou des médias sociaux pour s’informer sur les entreprises. Radio, presse et internet restent les sources les plus crédibles.

5) La confiance dans les politiques et leur communication poursuit sa lente descente aux enfers avec moins 3 points encore cette année ! 86% des français déclarent ainsi ne plus faire confiance aux discours politiques dont 46% « Pas du tout » et 40% « plutôt pas ».

 

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L’intégralité des données de cette étude, y compris le focus sur les entreprises de la nouvelle économie, sont à télécharger ici.

 

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Précisions méthodologiques pour l’édition 2015 :

Dates de réalisation : du 4 au 14 septembre 2015.

Un échantillon de 1 000 Français, représentatif de l’ensemble des actifs français – tous les répondants étaient en activité au moment de l’étude ; Personnes interrogées par Internet, sur la base d’un panel d’internautes. Méthode des quotas (sexe, âge, CSP, région).

Questionnement centré sur la communication institutionnelle [hors publicité produit] : La parole des entreprises, de mon entreprise est-elle fiable, sincère, transparente ? Vers un Indice d’authenticité comparable à la moyenne nationale.

Focus / Nouveauté 2015 : l’ajout de questions sur les acteurs de la nouvelle économie

 

Karin Cudd répond à nos trois questions !

Publié le : 21 septembre 2015

Karin CUDD, EXALEAD Brand Offer Marketing

 

Peut-on tout mesurer ?

Par fidélité à la marque EXALEAD, logiciel qui gère le Big Data, il faut répondre oui !

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ? 

Plutôt le moins apprécié : la balance. Surtout celle des bagages à l’aéroport : ma valise ne cesse de dépasser le poids maximal autorisé…Est-elle bloquée ??

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

1999 : l’année de mon arrivée de Chicago à Paris ; pleine d’espoir pour le nouveau millénaire ; et en hommage à Prince, originaire de ma ville (Minneapolis).

The Unreasonable effectiveness of data

Publié le : 25 mars 2015

Selon trois chercheurs de Google, le traitement du Big Data pour en extraire des abstractions mathématiques sophistiquées est inefficace et coûteux. Ouf ! Il était temps de le reconnaître et chez Occurrence nous partageons cette conviction.

Avec Google, désacralisons le Big Data pour réfléchir sereinement à ses usages et à son ROI.

Assaël Adary

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