Humeur

Comptage, fake news et petit déjeuner

Publié le : 10 février 2020

Après avoir compté 38 manifestations depuis fin 2017 pour le compte des médias [et les premières de 2007 à 2009], Occurrence ne compte en revanche plus les attaques et les fake news au sujet de notre méthodologie.

Nous travaillons en toute transparence avec les médias partenaires. Nous répondons à chaque remarque, attaque ou demande d’interview.

N’hésitez pas à nous poser toutes vos questions sur ce sujet et à partager nos réponses !

Mieux, nous vous invitons à venir en discuter avec nous dans le cadre d’un petit déjeuner  pour tout comprendre au comptage des manifestants, son fonctionnement et son impact social, mais aussi pour découvrir les usages que peuvent en faire les organisations, notamment pour mesurer le ROI de votre participation à un salon !

KEEP HOPE

Publié le : 18 octobre 2019

On n’a pas tous les jours 25 ans et ce fut donc pour nous une joie de vous avoir autour de nous pour cet anniversaire à l’occasion de notre soirée Hope au magnifique et accueillant Palais de la Porte Dorée. Et de l’espoir nos trois intervenants, Malène Rydhal, Anthony Babkine et Alex Jaffray en avaient sous le pied et nous les en remercions encore chaleureusement ici. Des bons moments c’est aussi des photos et elles sont ici !
Et pour ceux qui n’ont pas pu être avec nous… voici ici une petite plongée en 1995 pour évacuer toute nostalgie généralisatrice… Keep Hope !

 

Pierre Chavonnet, Directeur pôle marques & transformation

N’oubliez pas votre « déminaire » de rentrée !

Publié le : 4 janvier 2019

C’est la rentrée avec son lot de meilleurs vœux de la part des autres et de bonnes résolutions pour soi !
Et puis le quotidien va reprendre le dessus avec la surchauffe inéluctable de la case FAIRE (urgent et important) de la matrice d’Eisenhower… sur le mode on reprend les mêmes -difficultés, silences, inerties, problèmes, casse-pieds ou casse-autre chose, « pas de souci », critiques…- et on recommence !
Dès lors le printemps arrivera si vite qu’on programmera les vacances d’été pour se donner du courage… No comment !
Aussi pour donner à cette rentrée un tour plus constructif nous vous proposons un néologisme pour un exercice pratico-pratique et salvateur : organiser au moins un « déminaire » de rentrée !
Comment ? Commencer par identifier un vrai irritant. Celui qui oppresse un peu et qui mine votre motivation et votre bonne volonté.
Une fois identifié, vous vous dite que la solution pour le traiter est à 100% relationnelle. Vous êtes alors prêt pour organiser le déminaire en tête-à-tête ou à plusieurs, il ne vous reste que le choix du format : déminaire déjeuner, déminaire pause-café, déminaire d’équipe au vert… voire déminaire de recadrage. La solution est sur le chemin de l’autre et l’oralité reste, selon Occurrence, le meilleur média pour… déminer !

L’art du contemporain !

Publié le : 1 octobre 2018

Air du temps … alors que nous essayions depuis plus de 10 ans d’imposer une mesure indépendante du nombre des manifestants c’est dans un contexte de fake news devenues envahissantes que les médias se sont emparés de notre mesure indépendante à l’occasion des manifestations du printemps.

Signe des temps, dans notre étude pour Les Napoléons présentée à Arles au début de l’été, c’est un Français sur deux qui pense que le discours scientifique est le plus proche de la vérité, loin devant la littérature et la poésie (25,2%), le discours amoureux (13%), le discours politique (6%) et le discours religieux (5,8%).

Marquer son temps et des points (!) c’est aussi accompagner la fonction communication des entreprises et organisations dans le pilotage et la valorisation de leur performance…

Également marquer un temps d’arrêt pour prendre la mesure, à travers l’Observatoire BNP Paribas de l’Entrepreneuriat au Féminin opéré par Occurrence, des 80% de femmes entrepreneures qui ont confiance dans l’avenir ! Et vous ?

Enfin, il est grand temps d’écouter les 80% de Français qui indiquent, dans notre étude pour l’ONG Digital For The Planet, qu’ils seraient en tant que consommateurs plus fidèles à une marque si celle-ci prenait des engagements forts pour lutter contre sa pollution digitale !

Oui vous l’avez compris un institut comme Occurrence a vocation à manier l’art du contemporain et si la démonstration ne vous convainc pas … il vous reste la grande fête de l’art contemporain* !

 

Pierre Chavonnet, directeur du pôle Marque et transformation

* FIAC 2018 du 18 au 21 octobre

Vous voulez mon avis ?

Publié le : 11 juin 2018

L’été arrive et de nombreux chanceux vont chercher un hébergement pour leurs vacances. Alors que 88% des internautes consultent les avis de consommateurs sur des blogs, des forums ou des sites tels que Trip Advisor ou Google My Business avant de réaliser un achat en ligne, la fiabilité des avis est remise en cause par des associations de consommateurs mais aussi par les pouvoirs publics.

En effet, selon un rapport de la DGCCRF, « 35% des avis et commentaires de consommateurs sur Internet, notamment concernant l’hôtellerie, l’automobile ou l’électroménager, sont des avis tronqués et initiés par la concurrence pour orienter le consommateur. ».

Pour rendre ce processus plus impartial, l’Afnor en collaboration avec certains acteurs de l’industrie du tourisme propose une norme certifiant que le site volontaire récolte au moins deux variables d’identification : mails, adresse et numéro de téléphone afin de pouvoir contacter l’évaluateur. Les sites pourront également demander les preuves d’achats du consommateur afin d’éviter les faux avis. Alors que le parle beaucoup du RGPD pour les données personnelles, les informations fournies aux consommateurs requières également une grande déontologie.

Jocelyn Munoz, directeur associé de Deep Opinion, filiale d’Occurrence

Les réseaux sociaux dopés au Faux !

Publié le : 20 mars 2018

Nous le disons et le mesurons chez Occurrence depuis des années et voilà qu’une étude de trois chercheurs du MIT publiée dans Science (mars 2018) vient le confirmer.
Les corpus étudié est massif : 126 000 histoires différentes répandues sur Twitter entre 2006 et 2017. Ces histoires ont été vérifiées une par une : vraies, fausses, partiellement vraies, etc.
Les chercheurs ont ensuite analysé leur propagation respective. Le résultat est sans appel : les fausses nouvelles sont diffusées plus vite, plus loin, plus profondément et plus largement que les vraies. Sans détailler tous les enseignements, citons un chiffre qui fait frémir : il faut six fois plus de temps au vrai qu’au faux pour toucher 1500 personnes.
Plus que jamais, les entreprises et les institutions auront besoin d’un tiers de confiance pour évaluer la véracité des infos diffusées sur elles.
Occurrence, engagé dans un combat pour la Data-Déontologie, sera là !

On ne peut pas être à la fois 30 000 et 150 000 à manifester

Publié le : 28 septembre 2017

On ne peut pas être à la fois 30 000 et 150 000 Place de la République ou sur le boulevard Raspail. Non, ce n’est pas possible. Il faut se le dire une bonne fois pour toutes et enfin compter le véritable nombre des manifestants. Ça, c’est possible !

Occurrence via une technologie française développée par Eurecam compte les manifestants avec précision depuis 2007 ! Mais cette année, dans une époque post-Trump, post-Brexit et post-vérité, il semble que nous soyons enfin entendus, notamment par les médias.
Occurrence souhaite apporter le chiffre le plus vrai et le plus fiable possible, c’est ce qui nous anime au quotidien pour servir nos clients. Les data ont besoin de déontologie !

Le 12 septembre par exemple, il y avait 29 329 manifestants lors de la 1ère manifestation contre la réforme du code du Travail. Pour rappel, la préfecture en comptait 24 000, les syndicats 60 000…

Assaël Adary

Cartographier, c’est comprendre

Publié le : 19 juin 2017

Le terme de « cartographie digitale » fait florès dans notre secteur mais sa signification précise reste assez inconnue. C’est la représentation graphique d’une grande quantité d’interactions sur les réseaux sociaux sur la base d’une logique simple, une interaction = un lien. Cette représentation très visuelle permet notamment de repérer la source des fake news mais également de suivre la propagation réelle des messages de communication.

Facebook étant particulièrement strict sur le partage des données de ses utilisateurs, c’est surtout sur la plateforme Twitter que cette pratique est utilisée. Des outils tels que celui développé par nos amis français de chez Visibrain permettent d’obtenir les données qui doivent ensuite être analysées par un expert. Cela requiert à la fois des compétences techniques de gestion, des outils de cartographie et d’analyse des écosystèmes.

Identifier les mots et les idées qui sont exprimés sur votre organisation est important, mais comprendre qui parle de votre marque, qui l’attaque et comment ce qui est dit se propage est crucial. C’est pourquoi nous avons acquis les compétences techniques nécessaires et développé des méthodologies innovantes et exigeantes chez Occurrence afin de pouvoir réaliser pour vous des cartographies digitales sur mesure.

Jocelyn Munoz

Transformation digitale !

Publié le : 15 décembre 2016

Le mot est sur toutes les lèvres et les organisations passent leurs plans stratégiques dans le tamis de ce phénomène de fond. Mais au fait, qui pilote la transformation ? Comment s’organise ce pilotage et la question plus sensible de ses résultats concrets ?

Des réponses pour déminer les idées reçues issues de témoignages de décideurs au sein de 16 grandes organisations.

Une étude conduite par Occurrence : http://www.pilotagetransfodigitale.com.

Occurrence a lu pour vous : « Sauver la communication » de Dominique Wolton

Publié le : 5 octobre 2016

Occurrence a lu pour vous :

Sauver la communication de Dominique Wolton (2007)

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence.

 

Tout au long du livre, Dominique Wolton désire démontrer la fragilité et la complexité de la communication. Omniprésente et considérée comme banale, la communication est complexe et parfois mal comprise.

« Communiquer, finalement c’est toujours vouloir comprendre le monde. Cela suppose que l’homme puisse s’ouvrir au monde. D’où l’essor formidable, depuis le XVIIe siècle, du livre de la presse, du téléphone, de la radio, de la télévision d’Internet. Communiquer, c’est être libre, mais surtout reconnaître l’autre comme son égal ».

 

Téléchargez (et imprimez) la synthèse en trois pages en cliquant ici !

Septembre : le mois de la mesure !

Publié le : 22 septembre 2016

Il existe une journée mondiale de la vie sauvage (3 mars) ou encore une journée mondiale du Yoga (si, si le 21 juin, le même jour que la fête de la Musique !), nous avons désormais le mois de la Mesure, septembre !

Décrété par la très sérieuse AMEC (Association internationale pour la mesure et l’évaluation de la communication) ce mois vise à sensibiliser le secteur de la communication à l’impératif de mesure pour légitimer toujours davantage la fonction. Occurrence s’associe bien évidemment à ce mois qui magnifie notre métier… tout en rappelant que pour nous ce sont plutôt les décennies de la mesure. 21 ans consacrés à l’évangélisation des communicants : oui la communication peut se mesurer et doit se mesurer pour démontrer la création de valeur qu’elle génère pour l’entreprise !

Tuons le mythe d’Icare

Publié le : 14 juin 2016

Tuons le mythe d’Icare

 

Oui les annonceurs mesurent davantage et mieux la communication en 2016 qu’en 1995. A l’époque, évoquer simplement le fait que « c’était possible » relevait du surnaturel. Aujourd’hui, dans un monde qui a placé la performance et sa mesure en dogmes, affirmer que la communication constitue un objet mesurable est acceptable et accepté.

Oui les annonceurs ont compris qu’il fallait avant tout mesurer des dispositifs et pas seulement des outils. L’évaluation est plus sophistiquée, moins simple, plus coûteuse mais tout simplement plus juste tant l’efficacité se joue de plus en plus à la croisée des actions, dans les interstices des outils. Mesurer une efficacité en silo n’a plus de sens aujourd’hui.

Oui les annonceurs et les agences acceptent d’évaluer les effets et pas seulement les moyens… mais ce n’est pas toujours facile de l’accepter tant il est plus confortable de simplement compter des likes ou des shares que de se questionner sur les effets vraiment produits au bout de la chaîne de valeur.

Oui les agences acceptent un peu plus de voir le mesureur s’immiscer dans l’intimité de leur relation avec les annonceurs. Ce troisième larron, ce « tiers de confiance », parfois adulé, souvent honni ou conspué selon les résultats qu’il apporte. La vérité est parfois douloureuse mais toujours salvatrice. Aujourd’hui comme il y a 20 ans et comme dans 20 ans, rappelons que pour mesurer sereinement on ne peut pas être juge et partie !

Oui le Digital à la fin du XXème siècle a, dans un premier temps, violemment et fortement développé la culture ROIste de la communication en ringardisant les vieux métiers : paiement à la performance, à la transformation… pas simple de suivre pour les autres métiers de la communication.

 

Et puis, force est de constater, aujourd’hui, que ce n’est pas si simple de mesurer la performance, la vraie, du digitale. Il y a beaucoup de mensonges, de fake dans les KPi numériques : faux fans, faux trafic, faux commentaires, et tout cela dans des proportions tellement importantes qu’il faudrait être la NSA (et encore !) pour être en capacité de certifier les indicateurs.

 

Mais reste, en 2016, un frein redoutable à l’évaluation de l’efficacité de la communication, un mur plus haut et plus robuste qu’il y a 20 ans : la peur !

La peur de « savoir si ça marche vraiment ou pas », la peur de « s’approcher de la Vérité qui pique et qui brûle », la peur de l’échec qui sera considéré comme une faute alors même que bien analysé et compris il est une chance (test & learn).

Tant que les annonceurs et les agences ne voudront pas connaître la vérité sur la performance de leur stratégie, la mesure ne sera qu’un passe temps que l’on s’offre quand tout ne va pas trop mal et qu’il reste un peu de budget. La mesure restera une discipline discutée, débattue, philosophiquement acceptée mais rarement pratiquée.

 

Communicants, n’ayez pas peur !

La mesure est probablement, en 2016, votre meilleure amie pour légitimer et crédibiliser votre fonction. Icare n’est qu’un mythe, rapprochons nous du soleil sans crainte.

 

Assaël ADARY

 

Juin 2016.

Whoua-haha-grrr, ma réaction à Facebook Reactions

Publié le : 22 mars 2016

Hier on se demandait si « liker s’était s’engager ? » et déjà y répondre n’était pas simple.

Aujourd’hui, stop au « Like » multi-sens, place aux six réactions « j’aime », « j’adore », « haha », « waouh », « triste » et « grr ».

Hummm… [= perplexité], comment mesurer l’impact d’un contenu à l’aune de ces nouveaux critères ? Crr-Crrr-Crrr [= réflexion intense du cerveau].

 

Occurrence, qui mesure la performance des dispositifs réseaux sociaux, proposera donc des rapports sous la forme d’une équation complexe :

Performance Facebook = [(1000 likes + 50 haha)] x (3 Waouh) – [(300 « triste » x 120 « Grr »)] / [commentaires positifs – commentaires négatifs]

Et d’ailleurs, ne peut-on pas avoir deux réactions face à un post ? Une tristesse teintée de colère, une joie teintée de mélancolie … et comment dire « je t’aime … moi non plus ».

 

Soyons clairs ces analytics ne permettront pas de comprendre l’engagement réel des publics aussi bien que nos études quantitatives et qualitatives qui interrogent réellement l’opinion des publics touchés… l’opinion derrière les Réactions !

Mais qui osera vraiment mesurer ce qui se cache derrière ces « Réactions » ?

 

Assaël ADARY

Crise : 5 façons de se démarquer sur Twitter

Publié le : 20 octobre 2015

Crise : 5 façons de se démarquer sur Twitter
Ce que nous enseigne le cas Volkswagen par Pierre Chavonnet et Thomas Millard 

Occurrence_Crise-5 façons de se démarquer sur Twitter

23 septembre 2015 la twittosphère résonne de milliers de tweets intégrant le compte @volkswagen… Une opportunité pour cartographier et analyser ce qu’il se passait*. Au cœur de cette tempête qui accablait la marque allemande, une masse gigantesque et compacte de Tweets, de RT et de follows au cœur de laquelle personne, hormis @volkswagen, n’était vraiment visible.

En revanche, il est intéressant d’observer les tweets qui ont su se créer une audience et une visibilité propres dans la périphérie de cet écho médiatique…

5 façons d’interpeller et d’exister sont ainsi ressorties de notre analyse :

 

1) De l’information qui soigne sa forme (editing)

Ce sont des articles de presse qui ont d’autant plus de succès qu’ils ont un titre qui interpelle, une photo qui choque ou un traitement spécifique de la crise. Les exemples ne manquent pas comme les articles de Forbes ou d’US Stories.

 

2) Au-delà de l’information, partager des convictions

Ce sont des posts de blog ou des tribunes qui proposent une analyse avec un vrai parti pris : Opinion Page de NYTimes : “Volkswagen and the Era of Cheating Software” par Zeynep Tufekci.

 

3) Jouer sur la fibre locale et/ou linguistique

Chacun est roi en sa maison comme Álvaro Sanchez et son article d’El Pais ”Las claves del escándalo Volkswagen”.

 

4) Ne pas négliger l’humour, même quand le sujet est grave !

Quand on en a, il est difficile de faire plus efficace…

Exemple de @cluedont : “Me: Did you just fart? CEO of Volkswagen: No. Me: Hmm.”

 

5) Et enfin « récupérer » le sujet

Au combat il faut faire feu de tout bois… généraliser un comportement individuel pour dénoncer une pratique ou pour tacler un adversaire politique.

Greenpeace qui publie un masque de Dark Vador avec un logo VW accompagné de la mention « Je suis ton air ».

Ronald Hise qui s’en prend aux Républicains (américains) : “When Republicans say we need less regulation because corporations will do the right thing for the planet just tell them #Volkswagen”.

 

A la prochaine crise, vous serez parés pour exister !

 

* La Twittosphère autour de @volkswagen entre 13h et 15h le 23 septembre 2015, jour de la démission du PDG Martin Winterkorn. Cartographie de 11618 noeuds (comptes Twitter en interaction) et 11703 noeuds récoltés (Tweets, follow, ReTweets, mentions…). Réalisée avec le logiciel Gephi.

 

Une opinion représentative… des clients les plus satisfaits

Publié le : 16 juillet 2015

Un hébergeur, Nuxit, propose à ses clients d’évaluer les interventions techniques (les « tickets »). Suite aux notations, les clients reçoivent une invitation à partager leur opinion sur un site comparatif des hébergeurs (top10hebergeurs.com). Nuxit incite même à partager son opinion car ça pourrait rapporter 50€ (par tirage au sort).

Belle démarche. Sauf que notre ami Nuxit ne semble proposer cette participation qu’aux personnes ayant mis une note supérieure ou égale à 8/10. Pas très représentatif tout ça…

Comment sauver le soldat communication ?

Publié le : 24 juin 2015

Ici le Digital impose de changer… mais quoi, comment ?

Là, la pression budgétaire ne cesse de contraindre… au-delà du rabot (comme d’autres !), que faire avant de ne pouvoir plus rien faire ?

Ailleurs, le parcours client devient le centre de préoccupation et de la stratégie de l’entreprise, si la dircom voit bien comment reconstruire l’entreprise autour du client, pour elle-même… c’est parfois un peu ‘sec’.

 

De nombreux signes montrent que la mission et le fonctionnement de la direction de la communication sont à repenser. Un mouvement semble d’ailleurs se dessiner pour ‘réinventer’ cette direction si particulière de l’entreprise. Derrière certaines études qui nous sont confiées, c’est en fait cette question qui est posée, ou qui nous est renvoyée. Pas d’inquiétude cependant, la communication est de plus en plus un enjeux majeur pour toutes les organisations, ce qui se pose c’est qu’elle communication et comment la mettre en place ?

 

Quelle communication ? Une communication plus juste, plus proche, plus sincère, plus courageuse, plus mobile, plus cohérente… et à la hauteur de ce que sont et pensent ses publics.

Comment ? En osant briser certains tabous. En poussant les murs, en gagnant en réactivité, en agilité, en imagination… mais aussi mettant en place des approches rigoureuses et structurées.

 

Alors, prêts à embarquer ?

 

Pierre Gomez

Le ROI de la simplicité c’est combien ?

Publié le : 27 février 2015

Une étude canadienne vient de répondre. La simplicité ça peut rapporter des dizaines de millions de dollars. La récriture en langage clair de 92 des 700 formulaires du Ministère de l’Agriculture de l’Alberta  = 3,5 millions de dollars d’économie par an ! Comme les citoyens comprennent mieux les formulaires, ils commettent moins d’erreurs et le personnel peut donc les traiter plus rapidement et efficacement. CQFD. La compagnie d’assurance Royal du Canada réécrit ses polices d’assurance habitation en langage clair et augmente son CA de 20 millions de dollars, soit + 38% des ventes.

Alors prêt à simplifier et à mesurer le ROI ?

Assaël Adary

Nous sommes engagés auprès de :