Etudes

Premier baromètre d’attractivité des résidences AIRES

Publié le : 17 janvier 2023

À l’occasion de la 7e édition du Rendez-vous du logement étudiant, l’Association Interprofessionnelle des Résidences Etudiants et Services (AIRES) a souhaité lancer son premier baromètre d’attractivité auprès de ses locataires.
Une étude quantitative a été menée en ligne fin 2022 à laquelle ont répondu 5119 jeunes issues de plus de 150 résidences réparties dans toute la France. Un chiffre nous a particulièrement marqués : 87% des jeunes interrogés ont déclaré que leur vie est agréable. Un chiffre très engageant dans un contexte où nombre de nos enquêtes d’opinion pointent plus de défiance et de pessimisme de cette classe d’âge en général.
Aussi, il semble que cette expérience locataire démarque une population, pour ceux qui y ont accès, notoirement plus positive et apaisée et pointe ainsi qu’il n’y pas de fatalité à voire toujours le verre à moitié vide !

Les contenus sonores, levier de performance de la communication interne

Publié le : 17 janvier 2023

2 ans après sa première vague, Mediameeting a demandé à Occurrence de réaliser la deuxième édition de son Observatoire de l’oralité en entreprise. Après avoir adressé le rapport des Français actifs à l’oralité en général, cette édition de L’Observatoire a concentré son approche sur les salariés des entreprises de plus de 500 salariés, en interrogeant 1028 de ces derniers. Une approche qui a également permis d’isoler deux sous-échantillons, un dédié aux managers, l’autre aux salariés nomades qui exercent leur activité hors les murs de l’entreprise.

En synthèse, on notera qu’il existe des usages et des attentes pour les contenus sonores de la part d’une grande majorité des salariés, et que ces usages et ces attentes sont sensiblement plus élevés quand il s’agit des managers et des salariés nomades. Un signal fort qu’il est intéressant d’interpréter dans le contexte du rôle crucial que joue les managers en matière de communication interne (à la fois premier de cordée et levier clé de succès !) d’une part, et également au regard de l’intensification du télétravail dans certains secteurs, les usages des salariés nomades pouvant être appréhendés comme les futurs besoins des télétravailleurs !
Aussi, cette seconde édition de L’Observatoire consacre, au moment où les salariés sont plus fortement en quête de sens, que les contenus sonores ont un impact propre à améliorer significativement la communication interne quand ils intègrent pleinement le mix média de ces dernières.

Regardez en replay le WEBINAIRE de présentation de cette étude ici.

Observatoire de l’oralité _2022

Les français face à l’écologie digitale

Publié le : 4 juillet 2022

En mai 2022, Occurrence a réalisé pour Big Youth une étude au sujet des Français face à l’écologie digitale. Ce projet avait pour but d’alimenter leur Observatoire de l’impact positif qui se propose d’éclairer les écarts entre la perception des Français et la réalité des actions des marques en mesurant l’impact digital des grandes marques françaises. Les résultats ont permis de voir que 89% des Français seraient prêts à modifier leurs pratiques de consommation en fonction de l’impact positif d’une marque sur le digital. Et plus particulièrement les jeunes qui sont plus sensibilisés et plus exigeants que leurs ainés sur les questions liées à l’écologie et à l’impact positif.

Lire l’étude

Occurrence lance l’Observatoire des Pétitions

Publié le : 12 mai 2022

La température monte… Occurrence lance son nouveau thermomètre de l’opinion : l’Observatoire des Pétitions !

 

L’objectif ? Vous aider à :

👉 Décrypter les tendances.

👉 Adapter votre stratégie en fonction des enjeux d’opinion.

👉 Anticiper les crises (grâce au repérage des signaux faibles).

 

Concrètement, vous recevrez :

📰 Tous les mois, un rapport complet des pétitions au cœur de l’actualité.

🎯 Un focus sur les pétitions relatives à votre secteur d’activité.

🚨 Un alerting si votre organisation est touchée par une pétition.

 

Vous voulez en savoir plus ? Cliquez ici : https://observatoirepetitions.fr/

Marque employeur et collectivités territoriales

Publié le : 19 avril 2022
Dévoilée début avril à l’occasion de la Conférence d’ouverture des 22e Rencontres nationales de la communication interne, l’enquête Cap’Com / Occurrence sur l’état de la marque employeur dans les collectivités a atteint son double objectif : poser un diagnostic et faire débat pour avancer ! Le principal hiatus posé par l’étude est la certitude partagée par les répondants du bien-fondé d’une démarche de marque employeur (quelque soit le nom qu’on lui donne) et le constat également très partagé du faible rayonnement actuel des collectivités territoriales comme employeur. 

1 salarié sur 2 redoute d’être sujet à la discrimination en entreprise

Publié le : 30 septembre 2021

Selon une étude menée par sur la diversité au travail réalisée par Occurrence pour Diversidays en partenariat avec PwC : pour 46% des salariés du secteur privé, la diversité reste encore une notion floue et pourtant ces mêmes salariés sont 47% à penser pouvoir être sujet à discrimination ! Et 66% des salariés indiquent en avoir été au moins une fois témoin et 48% en avoir été victime. Les salariés s’accordent toutefois pour donner à leur entreprise une note moyenne de 6,7/10 pour leur politique de diversité et d’inclusion.

72% des français considèrent le vote comme un moyen d’action efficace

Publié le : 5 janvier 2021

Les 50 jeunes de moins de 35 ans, composant la première Promotion du dispositif « Social Demain», ont eu carte blanche pour questionner, en novembre 2020, un échantillon représentatif de la population française de plus de 18 ans sur leurs préoccupations sociales. Ce sondage, réalisé avec le cabinet d’études Occurrence, se penche sur ce qui fait le progrès social en 2020 et les pratiques d’engagement pour l’intérêt général.

Retrouvez ici l’intégralité du rapport

« Utilise-moi sur place » « Utilise-moi sans contact » « Utilise-moi à distance » : analyse de la campagne de communication autour de la carte Ticket-Restaurant®, marque de l’entreprise Edenred

Publié le : 16 décembre 2020

Lors d’un pré-test et d’un post-test autour de leur campagne de publicité, la Direction de la Communication d’Edenred France a chargé Occurrence de mesurer l’impact de cette campagne sur la notoriété et l’image de la marque Ticket-Restaurant®. L’objectif était d’évaluer l’évolution des perceptions de la marque Ticket Restaurant® sur ses attributs d’image, notamment sur l’aspect digital avant et après la campagne. L’objectif est atteint, puisque les attributs d’image digitale de la marque ont gagné plus de 10 points entre les deux vagues d’études !

Baromètre handicap au travail 2020 : santé, statut et conditions de travail

Publié le : 15 décembre 2020

A l’occasion de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées (SEEPH) et de la Journée Internationale des personnes handicapées, l’association Inter Handicaps System et Occurrence ont lancé la première édition de leur baromètre annuel sur le handicap au travail. Menée auprès d’un échantillon de 1074 Français en situation de handicap occupant ou ayant occupé un emploi, l’enquête apporte un éclairage nouveau sur le handicap au travail.
Si une personne en situation de handicap sur deux n’est pas reconnue (statutairement), ce que l’enquête confirme, elle révèle la corrélation troublante entre le taux de reconnaissance et la perception de l’état de santé.

Retrouvez notre Baromètre Handicap au travail

Dans les quartiers prioritaires et les zones rurales, des opportunités d’emploi dans le numérique encore en manque de candidats

Publié le : 15 décembre 2020

Alors que le numérique s’avère être un secteur fortement pourvoyeur d’emplois, un indicateur élaboré par l’association Diversidays, avec l’aide du cabinet Occurrence, grâce aux données de Pôle emploi et LinkedIn a montré que l’appétence pour ses métiers est nettement moindre chez les femmes, les habitants de quartiers prioritaires et des zones rurales. Pour Assaël Adary, l’indicateur permet de « sortir des batailles de subjectivités et d’intuitions. »
Retrouvez les conclusions de l’étude sur le site de Pôle Emploi

Les salariés-aidants : un enjeu pour toutes les entreprises

Publié le : 28 septembre 2020

Save the date ! Le 1er colloque de l’Observatoire solidaire-Faire grandir la cause des salariés-aidants se tiendra en ligne le mardi 29 septembre 2020 de 9h à 11h et il sera animé par Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos. A cette occasion Assaël Adary présentera les principaux résultats du premier baromètre de La Mutuelle Générale administré par Occurrence auprès de 2500 salariés des secteurs privé et public.

Pour s’inscrire au colloque ou consulter les résultats du baromètre consécutivement : cliquer ici.

Piétons et véhicules, deux visions du déconfinement

Publié le : 17 juin 2020

Il n’y avait pas de manifestation mais nous avons trouvé autre chose à compter : le niveau du déconfinement. Pour ce faire, nous avons compté à 4 reprises les piétons et les véhicules passant sous nos fenêtres, par tranche de 4h.
Résultat : un déconfinement à deux vitesses. En ce qui concerne les véhicules, le rythme de déconfinement s’est révélé bien plus rapide que celui proposé par le gouvernement, avec un pic important constaté le 12 mai. Les piétons se sont déconfinés plus lentement et plus progressivement, selon un rythme en croissance importante jusqu’au 2 juin.

Les français et le sponsoring

Publié le : 15 avril 2020

Occurrence offre à SPORSORA une étude inédite sur la perception par le grand public des entreprises partenaires du sport. Diffusée via un panel online, elle a été réalisée auprès de 1 500 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus.
Cette étude démontre l’intérêt pour les entreprises de mettre en place une stratégie de sponsoring qui permet, selon les français, de véhiculer une image positive des entreprises partenaires, et donc accroître leur notoriété mais aussi leurs ventes. Dans un second temps elle développe également l’affection pour les marques.
Cette stratégie de communication serait même plus efficace que la publicité, notamment auprès de la Génération Z dont le regard est déjà tourné vers Paris 2024.

Retrouvez l’étude sur le site de Sporsora

BAROMETRE ANNUEL : « Les salariés et l’entreprise responsable »

Publié le : 4 février 2020

Des Enjeux et des Hommes et ekodev dévoilent la 4ème édition de leur baromètre « Les Salariés et l’entreprise responsable ». Réalisée par Occurrence, auprès de plus de 1 000 salariés d’entreprises privées de plus de 250 collaborateurs, cette enquête révèle que seuls 15% des salariés pensent que la RSE a transformé leur entreprise en profondeur, que ce soit dans ses choix stratégiques, ses acquisitions ou son organisation.

Retrouvez ici l’intégralité de l’étude

Mandature 2014/2020 : 113 dircoms témoignent !

Publié le : 28 janvier 2020

Cette étude réalisée pour l’association Cap Com avait pour ambition de demander à la fonction communication de faire son bilan de la mandature qui s’achèvera en mars prochain. Mission accomplie avec des résultats qui consacrent le rôle de la communication dans cette mandature. Ainsi 72% estiment que la communication a été positionnée et traitée comme stratégique par leur exécutif, 77% pensent que la communication sort renforcée de la mandature en légitimité et en crédibilité et 83 pensent estiment que la performance de la communication peut favoriser la réélection. De bons augures pour la campagne qui s’annonce ?

Toute l’étude ici

Voici notre 5e vague du Baromètre de la communication intercommunale

Publié le : 18 octobre 2019

En partenariat avec l’AdCF, Epiceum et Cap’Com, retrouvez cet observatoire sur l’évolution du métier de la communication en intercommunalité, priorités pour les prochains mois, évaluation des actions menées, usages des outils de communication : le Baromètre de la communication intercommunale 2019 propose un état de l’art actuel et une mise en retro-spective des éléments marquants depuis 2008.

Une communication interne mobilisée sur ses défis

Publié le : 17 octobre 2019

C’est l’un des grands enseignements de l’enquête métier réalisée par Occurrence avec l’AFCI. On y apprend également que la communication interne était en quête de sa propre transformation digitale, ou encore que la communication managériale est centrale dans leur métier.

Retrouvez l’étude complète ici

L’intelligence artificielle, un sujet connu des français mais qui intrigue encore !

Publié le : 17 octobre 2019

IA for my people, une initiative lancée notamment par un député pour démocratiser la connaissance de l’intelligence artificielle, a demandé à Occurrence de réaliser un baromètre à ce sujet. L’une des conclusions est que la perception de l’intelligence artificielle est mitigée. La CSP est corrélée au niveau d’appréciation de l’IA. Les inactifs et CSP- en ont une moins bonne opinion voire une mauvaise opinion.

Retrouvez l’intégralité du rapport ici

Gluten : de l’effet de mode à l’indifférence ?

Publié le : 17 octobre 2019

Quatre ans après une première vague menée par Occurrence pour le Centre d’information des farines et du pain (Cifap) auprès des Français et leurs professionnels de santé, médecins généralistes et spécialistes, la seconde vague portent des opinions qui « calment le jeu » concernant le rapport au gluten. Pour 70% des Français (vs 55% en 2015) et 82% des professionnels de santé (vs 44%) le régime sans gluten est ainsi perçu comme une mode.

Une perception très majoritaire alors là même que les Français se sentent moyennement informés sur le gluten avec la note de 5.6/10 et qu’ils ne sont que 18% à savoir que c’est une protéine. Il semble que les effets quelque peu négatifs de la surmédiatisation du gluten révélés par la première vague de ce baromètre se soient estompés et que ce sujet concerne principalement aujourd’hui les personnes qui ont été diagnostiquées et/ou qui sont suivies par un médecin. Ainsi seuls 9% de Français disent avoir modifié leur alimentation quand ils ont entendu parler du gluten et même ceux-là ont une attitude plutôt rationnelle quant à leur changement d’alimentation.

Pour les professionnels de santé, il subsiste une forte dichotomie entre leur déclaratif assez significatif en matière de diagnostics liés au gluten et leur perception et usages de médecin qui sont beaucoup plus mesurés qu’à la précédente vague.

Deux tendances qui incitent à continuer à occuper l’espace médiatique à travers de la pédagogie sur l’apport de l’aliment naturel gluten et l’absence de fondement d’un régime sans gluten pour les personnes qui n’ont pas d’incompatibilité médicale diagnostiquée.

 

Retrouvez l’intégralité de l’étude ici

 

* Une étude en ligne réalisée du 5 au 8 mars 2019 auprès d’un échantillon de 1053 Français représentatifs de la population métropolitaine de 18 ans à 65 ans constitué suivant la méthode des quotas selon les critères de sexe, âge, CSP, région (UDA 5) et taille d’agglomération, et de 258 médecins Français, recrutés sur le territoire métropolitain et répartis en 2 échantillons, médecins généralistes et médecins spécialistes / professionnels de santé

Le numérique, un secteur dynamique pour la diversité

Publié le : 17 octobre 2019

Occurrence est heureux d’avoir participé avec Diversidays et Pôle Emploi à la création de l’indice Quartiers Prioritaires de la Ville (QPV) et numérique. Ce dernier révèle notamment que les femmes des QPV sont 5 fois moins amenées que les hommes à rechercher un emploi dans les métiers du numérique.

Retrouvez l’intégralité des chiffres dans ce communiqué de presse

129 questions pour mieux comprendre les métiers de la com’ dans l’enseignement supérieur !

Publié le : 17 octobre 2019

Ce baromètre réalisé depuis 2005 pour l’ARCES, l’Association des responsables de communication de l’enseignement supérieur, atteint déjà sa 8ème vague. Son objectif est de faire un état des lieux des métiers de com’ dans l’enseignement supérieur. L’étude recoupe le profil des membres, les différentes stratégies des établissements, les salaires, la structuration des services de com’, quelles actions de com’ interne et externe, et évidemment la question essentielle des budgets.

Il nous apprend notamment que le salaire est en hausse depuis la dernière vague. Les bacs +5 avec un master ayant une « coloration communication » sont de plus en plus nombreux, preuve que le métier se professionnalise. De plus, trois professionnels sur quatre estiment que la communication fait partie de la stratégie de leur établissement.

Retrouvez l’intégralité de l’étude

Les médicaments génériques ont le vent en poupe

Publié le : 2 octobre 2019

Au printemps 2019, Occurrence Healthcare a réalisé la 41ème vague de son Observatoire semestriel des Génériques, via l’interrogation en ligne d’un échantillon national représentatif de 302 titulaires d’officines

Le taux de substitution qu’ils déclarent progresse encore de 2 points, pour atteindre 88% et ils envisagent même 89% de substitution pour la fin de l’année. Logiquement, l’importance des génériques dans l’économie de l’officine est elle aussi plus importante et 80% des pharmaciens souhaitent qu’elle augmente

L’acceptation des génériques par les patients s’améliore, à 87% pour les pathologies courantes et 72% pour les pathologies lourdes, 8 points de plus que lors de la vague précédente

Des progressions qui profitent à tous les laboratoires de génériques, d’autant plus que, pour pallier aux éventuelles ruptures, le nombre de génériqueurs présents dans chaque officine augmente.

Occurrence participe à l’étude du COM-ENT sur les rémunérations dans la communication

Publié le : 25 juin 2019

Occurrence est fier d’avoir participé à la réalisation de l’ouvrage Emploi & rémunération dans la communication – tout et son contraire, publié par le COM-ENT.

Le cabinet y a contribué en se chargeant des études sur les rémunérations, qui ont permis de dégager des tendances générales dans le secteur. Entre autres, la contractualisation du travail a évolué dans la communication, avec la baisse de la proportion des CDI auparavant hautement prisés. Aussi, les rémunérations ont connu une progression notable, illustrée par une augmentation du salaire médian à hauteur de 29%.

Vous pouvez retrouver l’étude complète ici.

Enquête d’opinion Occurrence : A qui profite la transformation des pratiques alimentaires en communication ?

Publié le : 27 mars 2019

La transformation des pratiques alimentaires est au cœur de nombreuses campagnes de communication. Afin de mieux comprendre leur efficacité par rapport à des consommateurs qui s’interrogent, Occurrence a mené une enquête auprès de 1.000 Français. Quelles sont les communications qu’ils voient et qu’ils retiennent ? Quels en sont les impacts ? Quels sont les acteurs les plus entendus et ceux en qui ils ont le plus confiance ?

Cette étude nous apprend notamment que :

– Les marques et les distributeurs sont les émetteurs les plus vus ou entendus (42% de l’attribution des prises de parole sur les questions alimentaires) mais sont également jugés parmi les moins crédibles (jugés crédible par seulement 7% des répondants).

– Parmi les communications sur l’alimentation auxquelles ils ont été exposés, les messages liés à la santé (66%) sont ceux qui ont le plus marqué les répondants.

– Pour 16% des répondants, la communication leur a apporté des informations suffisamment convaincantes pour changer durablement leur comportement alimentaire.

Retrouvez l’étude complète ici.

Et si on écrivait pour être compris ?!

Publié le : 4 janvier 2019

Comme le souligne France Inter dans un article publié le 2 janvier « Depuis le 1er janvier 2019, les juridictions administratives sont tenues de rédiger leurs décisions de façon plus intelligible pour le justiciable. Les phrases interminables, les expressions désuètes et absconses sont désormais proscrites. » Etonnant ? Vraiment pas, comme le montre une étude enquête* menée par Occurrence pour l’agence de communication Avec des Mots, 41% des Français sont confrontés au quotidien à des textes qu’ils ne comprennent pas. Le langage clair est également un puissant levier d’égalité. 4 Français sur 5 comprennent une phrase écrite en langage clair, quel que soit le sujet (médical, administratif, assurantiel). Alors que selon le niveau de difficulté de la langue employée pour exprimer la même chose, la compréhension chute drastiquement. Seul 1/3 de la population comprend les phrases les plus complexes. Et l’absence de clarté dans les écrits des entreprises génère également une forte défiance de la part des Français vis-à-vis des marques.

Télécharger l’étude complète ici

* Étude administrée en ligne en novembre 2018, auprès d’un panel représentatif (méthode des quotas) de 1059 Français métropolitains âgés de 18 à 65 ans.

Génération Z : qu’est-ce qu’ils attendent pour être heureux ?

Publié le : 4 janvier 2019

Occurrence a réalisé avec Malene Rydahl, « experte en bonheur » et auteur de livres sur le sujet, une enquête sur les jeunes Français âgés de 15 à 18 ans et leur perception du bonheur. L’idée de départ était de savoir si cette Génération totalement connectée était sacrifiée sur l’autel AAA : #Avoir / #Argent / #Apparence. La réponse tout en étant plus nuancée -pour être heureux à 30 ans, 2 adolescents sur 3 souhaitent aussi fonder une famille et/ou obtenir un bon travail !- n’en reste pas moins déconcertante.
71% des jeunes pensent qu’être riche rend heureux et 1 adolescent sur 3 que l’argent leur permettra d’être heureux à 30 ans. Et seuls 7% des adolescents se trouvent tout à fait belles ou beaux, et 40% filles aimeraient faire au moins une opération esthétique… Ou encore le fait que pour 50 % des jeunes français et 40% des françaises le pouvoir rend heureux ! Pour Malene Rydahl, il y a donc urgence d’aider les jeunes à faire la lumière sur les plus grands leurres de notre époque et de revenir à la question essentielle : c’est quoi réussir sa vie ?

Télécharger l’étude complète ici

A quoi bon la vérité ?

Publié le : 3 octobre 2018

Occurrence a réalisé en partenariat avec Les Napoléons une photographie des représentations de la vérité qu’ont les habitants de 6 pays : le Canada, la Corée du Sud, le Ghana, la France, le Maroc et le Royaume-Uni. Nous y apprenons notamment que la France est le seul pays de notre échantillon dans lequel on considère davantage qu’il faut du courage pour entendre la vérité qu’il n’en faut pour la dire !

Retrouvez l’étude complète ici

Observatoire BNP Paribas de l’Entrepreneuriat Féminin

Publié le : 24 septembre 2018

BNP Paribas crée, avec le cabinet d’études Occurrence et sous le marrainage du secrétariat d’État à l’égalité entre les femmes et les hommes, l’Observatoire annuel national de l’Entrepreneuriat Féminin afin de détailler le profil des femmes entrepreneures, d’évaluer la progression des données du secteur et, d’analyser les grandes tendances en France. Il indique notamment que 4 femmes entrepreneures sur 5 ont confiance en l’avenir et 40% des dirigeantes donnent comme conseil n°1 d’oser franchir le pas de la création.

La première édition, parue en septembre 2018, est disponible ici dans son intégralité !

Faire bouger les lignes de l’écologie digitale

Publié le : 20 juin 2018

Digital for the Planet, jeune ONG créée en juillet 2017 par Ines Léonarduzzi a vocation à informer, alerter et conseiller les entreprises face à la pollution numérique, pollution qui ne cesse de croître dans le monde… Pour se donner des repères sur ce nouveau sujet de société la start-up a réalisé, en partenariat avec Occurrence, une étude* pour appréhender la relation entre les Français et l’écologie digitale.
Les premiers chiffres de cette enquête -en exclusivité pour cette newsletter- montrent tout d’abord une certaine méconnaissance des sondés sur le sujet puisque 73% déclarent ne pas savoir ce qu’est l’écologie digitale. Après avoir pris connaissance de ce concept et de ses enjeux, 91% des Français déclarent en avoir une bonne opinion mais seulement 1 Français sur 4 estime que les entreprises se sont déjà saisies du sujet.
Une façon de souligner à quel point les entreprises devront prochainement s’approprier cette problématique. Alors, n’attendez plus… à votre stratégie d’écologie digitale !

Retrouvez l’étude complète ici !

* Etude administrée en ligne en mai 2018, auprès d’un panel représentatif (méthode des quotas) de 1045 Français métropolitains âgés de 18 à 65 ans.

Vous nous demandez souvent « Comment comptez-vous les manifestants ?! », voici notre réponse !

Publié le : 20 mars 2018

Depuis 2006, nous avons développé sur la base de capteurs et d’un algorithme développé par Eurecam, (PME française spécialisée dans le comptage des personnes), une démarche de comptage des manifestants.

Le premier comptage officiel : la manifestation du 18 octobre 2007 [puis 20 novembre 2007, … puis 12 septembre 2017, 10 octobre 2017 et 16 novembre 2017]

La technologie est éprouvée et est utilisée pour compter les flux de personnes dans les aéroports, les centres commerciaux ou les musées.

Chaque installation est composée de 2 capteurs afin de toujours en avoir un de secours. Nous nous positionnons à environ 8 mètres de hauteur pour être en capacité de couvrir la largeur d’un boulevard [NB : nous couvrons les deux trottoirs et comptons les flux].

Les capteurs sont reliés à un ordinateur. Sur l’écran s’affiche alors l’image captée sur laquelle est tracée par l’algorithme une ligne. A chaque fois qu’une personne franchit cette ligne dans le sens de la manifestation, elle sera comptabilisée (triangle vert sur la photo). Les flux à rebours ne sont évidemment pas intégrés au comptage.

 

La technologie est fiable mais elle comporte une marge d’erreur. Pour limiter ce risque nous réalisons :

  •  « 6 micro-comptages humains » de 30 secondes, en temps réel : 2 sur des moments très denses, 2 sur des moments denses, et 2 sur des moments peu denses. C’est-à-dire que les manifestants sont recomptés humainement pour redresser le décompte fait par le capteur et déterminer une marge d’erreur, et donc le taux de redressement à appliquer en fonction de la densité.
  • En parallèle, une personne identifie les moments très denses, denses et peu denses du début de la manifestation jusqu’à sa fin, afin de pouvoir y appliquer les taux de redressement.
    Lorsque passe le dernier manifestant (suivis des voitures de la police qui ferment le cortège), nous récupérons les données des capteurs puis nous leur appliquons les différents taux de redressement. Nous sommes généralement en capacité de donner le chiffre dans les 15 minutes qui suivent la fin de la manifestation.

Le test du recomptage exhaustif a posteriori !

Pour valider encore davantage notre système, la manifestation du 16 novembre 2017 a été intégralement filmée par BFMTV puis comptée par 3 équipes séparément :

  • Occurrence
  • TF1
  • Le Monde

Résultat des écarts inférieurs à 8% par rapport au chiffre donné le jour J par Occurrence [pour rappel 350% d’écart entre le chiffre de la préfecture et celui des manifestants]

Les médias partenaires à ce jour ( au 20 mars) sont Radio France, RMC, l’AFP, Le Monde, Le Parisien, Europe News  (Europe 1), Nextradio TV, CNews, Mediapart, Upreg et SFR News ( Libération et l’Express).

 

 

 

 

 

 

La RSE, un levier d’engagement des collaborateurs de plus en plus « actionnable »

Publié le : 14 mars 2018

Occurrence a réalisé, en partenariat avec Ekodev et Des enjeux et des Hommes, une troisième vague de leur étude sur les perceptions des salariés* du concept de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Une troisième vague qui porte une certitude : le sujet de la RSE progresse significativement pour les salariés des grandes entreprises. Ainsi aujourd’hui près de 90% des personnes interrogées considèrent l’entreprise légitime pour contribuer aux enjeux de Développement Durable. 7 sur 10 accordent de l’importance aux questions de RSE et 40% en font même une condition de performance ! Et les managers, maillon essentiel de la transformation des entreprises, ont une meilleure vision des opportunités de cette démarche (+ 20 points en moyenne), tout comme les salariés qui se disent impliqués dans la stratégie RSE de leur entreprise. Un terreau qui ne demande donc qu’à prospérer ! L’étude complète à télécharger ici.

*Terrain online du 6 au 26 septembre 2017 auprès de 1036 salariés du secteur privé issus d’entreprises de plus de 250 salariés

 

Le gâchis de talents en France

Publié le : 31 janvier 2017

Qu’attendent les Français pour passer à l’action ?

D’après une étude menée en partenariat avec Ticket for Change, 94% des Français ont envie d’agir pour contribuer à résoudre nos grands défis de société. Pourtant, seulement 20% d’entre eux passent à l’action. Un vivier considérable qui ne demande qu’à être activé…

 

Des données et des témoignages de grands acteurs de l’entrepreneuriat dans la présentation ci-dessous : Rapport Gâchis de Talents en France (gachisdetalentsenfrance).

 

 

Enquête menée du 22 décembre au 27 décembre 2016 auprès de 2000 répondants d’un échantillon national représentatif de la population française de 18 ans et plus.

Les Français et le « Commun »

Publié le : 15 décembre 2016

A l’automne, Occurrence a conduit pour le Printemps Républicain une étude auprès d’un échantillon représentatif de 2000 Français de 18 ans et plus autour de la notion de « Commun » : qu’est-ce qu’être Français ? Quels sont les acteurs qui incarnent le mieux le « Commun » ?  Que signifie la République pour les Français ? Comment le « Commun » va-t-il jouer dans la prochaine échéance présidentielle ?

Autant de thèmes sociaux et politiques que l’étude permet de mettre à jour :

Les constructeurs Automobile sur les réseaux sociaux

Publié le : 4 novembre 2016

Bilan de la présence des constructeurs au Mondial de l’Automobile sur les réseaux sociaux

 

Lors du Mondial de l’Automobile 2016, Occurrence a décortiqué la présence des constructeurs sur les Réseaux Sociaux.

Renault avait l’actualité la plus visible et BMW a généré le plus d’engagement de ses followers mais c’est Maserati qui a atteint, et de loin, le plus fort indice de « viralité » (= engagements sur nombre de publications).

 

« Si le web social a reflété la passion de l’automobile, il a beaucoup moins relayé les grandes innovations en matière de voitures électriques ou autonomes. » précise Stéphan Robert de Montgrand, responsable du pôle Médias & influence.

 

Plus de détails sur notre études plus détaillés dans notre Communiqué de Presse ou en écoutant l’interview de Stéphan Robert de Montgrand sur AutoK7.

Huit français actifs sur dix se sentent « engagés » dans leur vie professionnelle

Publié le : 25 septembre 2016

C’est ce que révèle l’étude « Les Français actifs et l’engagement dans le milieu professionnel » réalisée par Publicis Consultants et Occurrence.

Cliquez ici pour télécharger l’étude.

 

« La notion d’engagement n’a jamais été aussi présente qu’aujourd’hui dans notre société, et dans des domaines aussi variés que la citoyenneté, la sécurité nationale ou la consommation de produits et services. A un moment où la question du travail a été largement questionnée, souvent de façon passionnée jusque dans la rue, il nous a semblé intéressant de mieux cerner la nature de l’engagement des Français vis-à-vis de leur entreprise » souligne Thierry Herrant, en charge du pôle Image et contenus chez Publicis Consultants.

 

Les réponses des Français sur leur engagement au travail sont riches d’enseignements, en témoignent l’étude sur l’engagement des salariés envers l’entreprise :

 

1 – Des Français très impliqués dans leur travail mais à une condition le respect de l’équilibre vie privée/professionnelle.

 

2 – Trois profils de l’engagement professionnel émergent fortement : les jeunes cadres « connectés » prêts à s’investir fortement pour leur entreprise, des femmes de 35 et +  davantage tournées vers les valeurs humaines de l’entreprise, les employés/ouvriers très en retrait en matière d’engagement mais en attente de reconnaissance.

 

3 – Dans une société où la défiance est en constante progression, l’étude pointe une confiance dans l’avenir de leur entreprise et un engagement personnel dans la réussite de celle-ci, pour huit répondants sur dix.

 

4 – Une proportion importante des salariés français prête à s’engager au-delà de ce qui est attendu d’eux et à en faire bien plus que ce qu’on leur demande.

 

5 – Rémunération attractive, perspective d’évolution professionnelle, qualité de vie au travail, management bienveillant, les quatre principaux leviers pour susciter l’engagement au travail.

 

« En conclusion, nous avons été assez surpris de constater des scores d’engagement supérieurs à 10 points à ceux de nos standards qui sont issus des grandes entreprises en France. Cela est très positif quant à la dynamique économique à l’échelle des territoires et des PME/PMI et autres artisans et indépendants. Et cela souligne, en creux, l’impérieuse nécessité pour les grandes entreprises de ne pas décrocher plus encore en matière de confiance, avec l’enjeu clé de « réenchanter » et nourrir les relations sociales en leur sein. » précise Pierre Chavonnet, directeur du pôle Marques et transformation d’Occurrence.

Et vous… avez-vous mal à votre climat social ?

Publié le : 12 juillet 2016

courseComment parler de fierté d’appartenance à un millenial qui questionne l’impact positif des entreprises sur la société ? Comment évaluer l’engagement d’un cadre équipé d’un smartphone et qui ne s’arrête jamais ? Comment interroger la compréhension de la transformation par le salarié sans la relier à sa qualité de vie au quotidien dans l’entreprise ?


Fait générationnel, transformation numérique et motivation sous conditions imposent à l’entreprise de revisiter la relation à ses salariés… et la façon de la mesurer !

Mardi 5 juillet 2016, on pouvait lire sur le site du Figaro à propos de la Loi travail : « Voilà presque quatre mois jour pour jour que la contestation persiste et que les politiques s’écharpent sur ce projet de loi, plongeant le pays dans un climat social délétère. »

Une expression générique du climat social qui n’est pas celle retenue par l’institut Occurrence lors de son petit déjeuner du 28 juin dernier sur les indicateurs du climat social (ou plutôt sur leur nécessaire évolution !). Revenons donc à une définition pertinente pour toute entreprise ou organisation qui emploie quelques collaborateurs ou quelques milliers : Le climat social est l’évaluation de l’équilibre du contrat moral passé entre l’entreprise et les salariés, perçu par ces derniers à un instant t.  Cette définition intègre la notion d’équilibre, héritage de la norme de réciprocité édictée dès les années 60 par Alvin Ward Gouldner[1]. Norme qui permet de développer des relations durables, basées sur le respect des obligations et le sentiment de redevabilité et crée ainsi un « climat économique ».

Hors depuis dix ans, et de façon accélérée ces dernières années, ce sentiment de redevabilité du collaborateur, fondé sur le simple fait d’avoir un travail, a pris un sacré coup de vieux ! Il ne suffit plus pour générer de la fierté et de l’épanouissement chez le salarié. Et encore moins pour lui permettre de trouver le fameux « bonheur au travail », si à la mode et pourtant devenu si incertain…

« Comment ça ? Mes troupes ont du boulot et des avantages sociaux au moment où plus de trois millions de leurs compatriotes sont inscrits à Pôle Emploi… et en plus ils ne sont pas heureux ? ». Au-delà de cette caricature d’un employeur moyenâgeux les raisons de questionner le modèle – ou sa fin – du côté du salarié sont nombreuses ; précarité de l’emploi, l’omniprésence du stress au travail qui dégrade fortement l’équilibre de la vie privée, mais aussi la charge de travail vécue comme trop importante[2] ou encore le manque de sommeil, comme l’a souligné une récente étude[3] Occurrence.

A cette redevabilité qui ne va plus de soi s’ajoute l’arrivée en masse sur le marché du travail d’une génération Y[4] qui revendique un droit d’inventaire sur le job qu’on lui propose : « We don’t value 20th century workplace rules.[5] » L’entreprise pourra-t-elle leur donner plus de « sens » sur son ambition et l’embarquer, en respectant son individualité, dans la co-construction d’une aventure collective ? A ce stade nombre de startups y parviennent, tandis que les grandes entreprises y travaillent encore. De la même manière, elles font leur transformation digitale qui, comme tout changement culturel, impose d’accompagner et de considérer le temps nécessaire pour acculturer le corps social à ces évolutions ; ouvrant ainsi le sésame de la transversalité, graal de l’entreprise agile !

Cette mutation profonde du rapport au travail (dont les facteurs et les ressorts ne sont pas listés ici de façon exhaustive) impose donc aux DRH une grande modernisation de leur approche pouvant être résumée en 5 combats[6] et dont nous citons celui qui fait le plus écho à notre propos : « de la confiance plutôt que du contrôle ». C’est le fer de lance de l’entreprise libérée qui a tant de mal à s’imposer en France au-delà de quelques expérimentations mais qui semble pourtant montrer le bienfondé d’une approche jouant sur la responsabilisation et l’autonomie comme facteurs de motivation. Selon nos études, ce n’est d’ailleurs pas une approche spécifique aux millenials ou aux plus jeunes : l’âge ne doit pas être considéré comme la seule ligne de fracture, loin s’en faut, alors même qu’un courant du consulting aurait tendance à en faire une loi d’airain. L’ancrage géographique, la CSP d’origine ou encore le secteur concerné jouent tout autant dans la définition d’un nouveau rapport au travail.

Et c’est sur ce constat de la nécessité de renouer avec un rapport plus équilibré -dans la réciprocité- entre entreprise et employés, qu’Occurrence s’est penché sur la mesure d’une confiance mutuelle retrouvée fondée sur ces trois postulats de départ :

  • investir de nouveaux aspects du contrat social ;
  • en moderniser le registre sémantique ;
  • et miser sur l’alliance d’indicateurs standards et spécifiques.

La notion d’innovation sociale est évidemment cruciale pour toute entreprise qui voudrait réussir sa transformation digitale. Qui pourrait croire qu’elle y parvienne sans innover dans son contrat social et son modèle d’organisation. Ne ferait-elle pas la course avec ses jeunes compétiteurs sur une seule jambe avec peu de chances de faire de belles performances… ? D’autres sujets sont également devenus incontournables comme celui, central, de l’engagement, pour lequel Occurrence va porter plusieurs initiatives à la rentrée de septembre.

Quant à la modernisation du registre sémantique, il suffit de vous pencher sur votre dernière enquête de climat social pour que vous y remarquiez le prisme handicapant d’une entreprise « émetteur en chef » : tout est dit à l’heure du collaborateur média ! Quant à « climat social » (ou « climat interne ») ne peut-on pas trouver de formulation plus… apaisée et valorisante pour évaluer un contrat social redynamisé ?

Enfin, pour bien se mesurer (avec l’idée de s’améliorer) il faut pouvoir se comparer. De ce point de vue, on ne peut donc pas se passer des indicateurs standards d’aujourd’hui et de demain. Toutefois la confiance ne se nourrit pas de « modèles sur étagère » et la personnalisation pour chaque entreprise et organisation d’une enquête interne est clé pour la reconnaissance et la considération que chaque répondant pourra y trouver.

Et si on parle considération, revenons, pour conclure, à la loi travail dont nos confrères instituts nous disent que les Français sont majoritairement contre, alors là même que ces derniers se prononcent pour une nouvelle tendance politique à la tête de l’État en 2017… qui ne cache pourtant pas sa volonté d’amplifier les mesures de cette loi. Ne peut-on pas envisager dès lors que, collectivement, croissance et illusions en berne, consciemment ou non, nous exprimions dans ce rejet notre souhait que l’entreprise change. Qu’elle devienne plus nôtre et attentive à notre relation de travail et le sens qu’on en attend. Alors si vous êtes aux commandes n’attendez plus : prenez le chemin de l’« entreprise attentionnée » et faites du bien à votre climat social… il vous le rendra et on saura vous le mesurer !

Pierre Chavonnet, directeur pôle marques et transformation d’Occurrence

1 https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2008-2-page-97.htm
2 Cegos, baromètre climat social, 2015 : http://www.cegos.fr/Pages/climat-social-qualite-de-vie-barometre-cegos.aspx
3 http://occurrence.fr/16-milliards-dheures-de-sommeil-de-dette/
4 Les « Y » représenteront 75 % des actifs dans le monde d’ici à 2025 (Etude de Deloitte et du Brookings Institute 2015)
5 Ray Gillenwater, Co-Founder and CEO of SpeakUp, Entrepreneur, May 29 2015
6 Le DRH sur le ring : 5 combats, La Tribune,  Emmanuelle Duez, The Boson Project, 21/06/2016

« Et si les relations presse n’existaient pas ? »

Publié le : 15 mars 2016

« Et si les relations presse n’existaient pas ? »

 

Avec 20 ans d’expérience et plus de 530 000 retombées presse, Occurrence propose un scénario fiction : un monde sans relations presse. Qu’en serait-il de la visibilité et de l’image des entreprises dans les médias ? Comment les messages des organisations seraient-ils relayés ?

Des chiffres qui révèlent l’impact des relations presse sur la visibilité de l’entreprise, la présence de ses messages et de ses porte-paroles ou encore la qualité de son image.

 

Téléchargez l’étude en cliquant ici.

La sieste au travail : un levier pour réduire notre déficit de sommeil.

Publié le : 15 mars 2016

Etude : Dormir plus pour travailler mieux ?

« la sieste au travail » : un levier de taille pour réduire le déficit de 16 milliards d’heures de sommeil annuel des Français

Le déficit de sommeil des Français cumulé sur un an atteint les 15,6 milliards d’heures ! A l’occasion de la 16e Journée du sommeil organisée le 18 mars 2016, voici une solution envisageable pour pallier ce déficit : la sieste « au travail ».

Quel est l’impact du déficit du sommeil au quotidien sur le travail des Français ? Ce déficit influe-t-il sur leur concentration et leur efficacité ? Les Français font-ils la sieste « au travail » ? Dans quelles conditions ? Combien de temps ?

Eléments de réponses dans notre Communiqué de Presse ou et dans le focus sieste de notre rapport d’étude.

Et la globalité de notre étude sur le déficit de sommeil des Français est à retrouver sur cette page !

Les Français plébiscitent les acteurs de la nouvelle économie

Publié le : 15 décembre 2015

CINQUIÈME ÉDITION DE L’OBSERVATOIRE DE L’AUTHENTICITÉ : LES FRANÇAIS PLÉBISCITENT LES ACTEURS DE LA NOUVELLE ÉCONOMIE !

 

L’intégralité des données de cette étude, y compris le focus sur les entreprises de la nouvelle économie, sont à télécharger ici.

 

Rapport_Authenticite_2015_V2

Comment est perçue la communication de nos entreprises ? Quelle crédibilité apporter à leur discours ? Quelles leçons peut-on tirer de cette perception ? Quelles sont les entreprises dignes de monter sur le podium de « l’authenticité » ? Pour répondre à ces questions, Makheia et Occurrence ont lancé, en 2010, l’Observatoire de l’Authenticité au travers duquel chaque année les Français expriment leur cote d’amour à l’égard de la communication institutionnelle des entreprises.

 

Le Bon Coin, BlaBlaCar, Ventes-privées, Google, Amazon et Deezer sont les grands vainqueurs de cette cinquième édition de l’Observatoire de l’Authenticité Makheia – Occurrence. Pour la première fois les acteurs de l’économie digitale font leur entrée dans le palmarès de la confiance et devancent de loin les entreprises « traditionnelles ». Seule La Poste, tire son épingle du jeu en figurant parmi les 10 marques jugées les plus « authentiques »…devant Free et Microsoft.

 

Cette nouvelle édition révèle cinq grandes tendances :

1) Bonne nouvelle, on souligne une amélioration globale de la confiance envers les entreprises et leur communication. Même si celle-ci peine toujours à atteindre les 50% (46% précisément), la confiance est en hausse de près de 25% depuis son plus bas niveau de 2011.

 L’authenticité perçue des entreprises progresse ainsi depuis trois ans de façon continue.

 En terme d’analyse sectorielle, on souligne un capital d’authenticité plus important dans les secteurs de consommation associée au plaisir, tel est le cas des marques de grande consommation comme LECLERC et des technologiques, comme ORANGE ou FREE.

A l’inverse, le secteur énergétique ou encore les banques pâtissent d’une mauvaise image dont ils peinent à se détacher et restent, malgré une certaine amélioration, en queue de peloton depuis 5 ans. Les plus fortes progressions sont : PSA, AXA, SG, MAIF, BNP, ALLIANZ, SANOFI, ET ENGIE. Seules six entreprises progressent pour la deuxième année consécutive à savoir : PSA, RENAULT, ENGIE, BP, MAIF ET ORANGE

2) Les Français octroient toujours une prime à leur propre entreprise, avec près de 10 points d’écart. 60% d’entre eux jugent effectivement leur entreprise plutôt crédible.

3) Les jeunes actifs (20-30 ans) accordent toujours davantage de crédit aux entreprises que leurs ainés…avec plus de 40 points d’écart !

Aussi bien au global que sur les entreprises en particulier cette classe d’âge se montre d’une manière transversale et durable plus bienveillante. L’écart avec les quinquas ne cesse, en revanche, de s’accroitre soulignant une rupture de plus en plus marquée entre la confiance des jeunes salariés et une méfiance (irréversible ?) des salariés plus âgés.

4) Alors que les médias classiques demeurent « chahutés », le « média entreprise » est solidement ancré dans le paysage des sources d’information. Les Français lui témoignent désormais un niveau de confiance équivalent à celui de la télévision ou des médias sociaux pour s’informer sur les entreprises. Radio, presse et internet restent les sources les plus crédibles.

5) La confiance dans les politiques et leur communication poursuit sa lente descente aux enfers avec moins 3 points encore cette année ! 86% des français déclarent ainsi ne plus faire confiance aux discours politiques dont 46% « Pas du tout » et 40% « plutôt pas ».

 

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L’intégralité des données de cette étude, y compris le focus sur les entreprises de la nouvelle économie, sont à télécharger ici.

 

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Précisions méthodologiques pour l’édition 2015 :

Dates de réalisation : du 4 au 14 septembre 2015.

Un échantillon de 1 000 Français, représentatif de l’ensemble des actifs français – tous les répondants étaient en activité au moment de l’étude ; Personnes interrogées par Internet, sur la base d’un panel d’internautes. Méthode des quotas (sexe, âge, CSP, région).

Questionnement centré sur la communication institutionnelle [hors publicité produit] : La parole des entreprises, de mon entreprise est-elle fiable, sincère, transparente ? Vers un Indice d’authenticité comparable à la moyenne nationale.

Focus / Nouveauté 2015 : l’ajout de questions sur les acteurs de la nouvelle économie

 

Crise : 5 façons de se démarquer sur Twitter

Publié le : 20 octobre 2015

Crise : 5 façons de se démarquer sur Twitter
Ce que nous enseigne le cas Volkswagen par Pierre Chavonnet et Thomas Millard 

Occurrence_Crise-5 façons de se démarquer sur Twitter

23 septembre 2015 la twittosphère résonne de milliers de tweets intégrant le compte @volkswagen… Une opportunité pour cartographier et analyser ce qu’il se passait*. Au cœur de cette tempête qui accablait la marque allemande, une masse gigantesque et compacte de Tweets, de RT et de follows au cœur de laquelle personne, hormis @volkswagen, n’était vraiment visible.

En revanche, il est intéressant d’observer les tweets qui ont su se créer une audience et une visibilité propres dans la périphérie de cet écho médiatique…

5 façons d’interpeller et d’exister sont ainsi ressorties de notre analyse :

 

1) De l’information qui soigne sa forme (editing)

Ce sont des articles de presse qui ont d’autant plus de succès qu’ils ont un titre qui interpelle, une photo qui choque ou un traitement spécifique de la crise. Les exemples ne manquent pas comme les articles de Forbes ou d’US Stories.

 

2) Au-delà de l’information, partager des convictions

Ce sont des posts de blog ou des tribunes qui proposent une analyse avec un vrai parti pris : Opinion Page de NYTimes : “Volkswagen and the Era of Cheating Software” par Zeynep Tufekci.

 

3) Jouer sur la fibre locale et/ou linguistique

Chacun est roi en sa maison comme Álvaro Sanchez et son article d’El Pais ”Las claves del escándalo Volkswagen”.

 

4) Ne pas négliger l’humour, même quand le sujet est grave !

Quand on en a, il est difficile de faire plus efficace…

Exemple de @cluedont : “Me: Did you just fart? CEO of Volkswagen: No. Me: Hmm.”

 

5) Et enfin « récupérer » le sujet

Au combat il faut faire feu de tout bois… généraliser un comportement individuel pour dénoncer une pratique ou pour tacler un adversaire politique.

Greenpeace qui publie un masque de Dark Vador avec un logo VW accompagné de la mention « Je suis ton air ».

Ronald Hise qui s’en prend aux Républicains (américains) : “When Republicans say we need less regulation because corporations will do the right thing for the planet just tell them #Volkswagen”.

 

A la prochaine crise, vous serez parés pour exister !

 

* La Twittosphère autour de @volkswagen entre 13h et 15h le 23 septembre 2015, jour de la démission du PDG Martin Winterkorn. Cartographie de 11618 noeuds (comptes Twitter en interaction) et 11703 noeuds récoltés (Tweets, follow, ReTweets, mentions…). Réalisée avec le logiciel Gephi.

 

16 milliards d’heures de sommeil de dette

Publié le : 9 octobre 2015

Dormir plus pour travailler mieux ?

Etude Occurrence : un déficit de 16 milliards d’heures de sommeil annuel pour les Français !

Nous avons réalisé une étude sur le manque de sommeil des Français et ses conséquences sur leur quotidien.

Pour qui la dette annuelle de sommeil est-elle la plus élevée ? Hommes/femmes ? Quelles régions ? Comment les Français vivent-ils ce déficit au quotidien ? Quelles sont les conséquences du manque de sommeil au travail ?

Eléments de réponses dans notre rapport à télécharger ici !

 

Comment progresse la confiance des Français envers les organismes publics ?

Publié le : 10 juillet 2015

L’édition 2015 du baromètre de la confiance dans la parole publique, réalisé par Occurrence et l’association Communication Publique, a été présenté lors de l’Assemblée générale de Communication Publique  au Conseil Economique, Social et Environnemental le 30 juin 2015, en présence de son président, Jean-Paul Delevoye.

L’enquête a été conduite par internet auprès d’un échantillon de 1 033 Français représentatifs de la population française, entre le 4 et le 15 mai 2015.

 

En 2013, Occurrence et Communication Publique ont lancé ensemble la première vague du « Baromètre de la confiance dans la parole publique ». Cette étude livrait alors un regard parfois pessimiste sur la relation que les Français entretiennent avec leurs organismes publics. Deux ans après, la situation a-t-elle évolué ? Quels sont les facteurs de la confiance des Français ? Où en est le « match public / privé » entamé lors du premier baromètre 2013 ?

 

« La deuxième vague de ce baromètre présente un état moins sombre de la perception, par les Français, de la parole et de l’action publiques… mais celles-ci souffrent toujours de la comparaison avec leurs homologues du secteur privé, auréolé d’un certain a priori d’efficacité et de réactivité. Les résultats montrent certes l’impact de l’actualité, avec par exemple la perte de crédibilité du secteur public sur l’éducation (que l’on peut relier aux difficultés sur la réforme des rythmes scolaires). Mais ils révèlent, surtout, l’ampleur de la prise en compte par chacun de son propre vécu pour porter un jugement sur une institution dans son ensemble. Ainsi la perception de la communication publique est-elle irrémédiablement liée au regard que les Français portent sur leur service public, dans une démarche de plus en plus associée à celle de client / fournisseur. » (Christelle FUMEY, responsable du pôle Corporate & Marque)

 

Cliquez ici pour télécharger l’étude au format PDF.

Cuando la e-reputación se evalúa

Publié le : 17 juin 2015

Faisant suite à un petit déjeuner sur l’e-réputation auxquels ont participé Céline Mas et Carlos Cazorla en novembre dernier à Madrid, Occurrence lance un guide des bonnes pratiques en matière d’e-réputation, en partenariat avec Augure et Mirror, partenaire espagnol.  Le document, à la fois état des lieux et modus operandi est téléchargeable ici (en espagnol) pour le moment :

Se puede descargar el documento aqui.

Médias sociaux et directions de la communication : où en est-on en 2015 ?

Publié le : 29 avril 2015

Angie+1 et Occurrence ont interrogé 140 décideurs de la communication pour avoir une vision claire de la diversité des pratiques des médias sociaux en 2015.

 

Assaël ADARY, Président d’Occurrence : « Nous avons réalisé cette étude pour l’offrir au monde de la communication, afin que les professionnels de la communication aient des éléments objectifs et chiffrés pour mieux comprendre l’évolution des entreprises et leurs usages des médias sociaux. Nous en avons retenu, de manière synthétique, 10 enseignements majeurs. »

Publics, thématiques, outils, postures… Voici les 10 enseignements à retenir : Télécharger le PDF de l’étude.

 

Enquête téléphonique réalisée entre le 9 et le 16 décembre 2014, auprès d’un échantillon de 140 décideurs de la communication (133 organisations) ayant établi une stratégie ou des actions de communication sur les médias sociaux.

10 regards d’élus et de DirComs sur la communication intercommunale

Publié le : 16 avril 2015

L’intercommunalité change. La communication des communautés évolue en conséquence. Appréhender finement ces mutations pour mieux les accompagner est un enjeu essentiel qui intéresse autant les élus que les communicants intercommunaux.
C’est la raison d’être du Baromètre de la communication intercommunale, une enquête nationale de référence réalisée tous les deux ans auprès de ceux qui ont en charge la communication au sein des intercommunalités.
Ce Baromètre est conduit par l’Assemblée des communautés de France (AdCF), l’agence Epiceum, qui l’ont initié en 2008, le réseau Cap’Com et l’institut d’études Occurrence. La 4e vague de l’enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré sur internet en février 2015*.

 

Cliquez ici pour télécharger l’étude.

La communication intercommunale dans le mouvement des réformes

Publié le : 16 avril 2015

Baromètre 2015 de la communication intercommunale (4e vague)

L’intercommunalité change. La communication des communautés évolue en conséquence. Appréhender finement ces mutations pour mieux les accompagner est un enjeu essentiel qui intéresse autant les élus que les communicants intercommunaux.
C’est la raison d’être du Baromètre de la communication intercommunale, une enquête nationale de référence réalisée tous les deux ans auprès de ceux qui ont en charge la communication au sein des intercommunalités.
Ce Baromètre est conduit par l’Assemblée des communautés de France (AdCF), l’agence Epiceum, qui l’ont initié en 2008, le réseau Cap’Com et Occurrence. La 4e vague de l’enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré sur internet en février 2015.

Cliquez ici pour télécharger la synthèse de l’étude.

Cliquez ici pour télécharger l’étude complète.

 

Authenticité

Publié le : 7 avril 2015

Observatoire de l’authenticité – Makheia/Occurrence – 4e vague

« Les Français jugent l’authenticité des entreprises »

La communication des entreprises est-elle perçue comme authentique de la part des Français ?

Cette étude qu’Occurrence a menée en partenariat avec l’agence Makheia donne des réponses à cette question : perception des discours d’entreprise, place des médias sociaux dans cette perception, classement des entreprises, la perception de l’axe RSE, la perception du discours de sa propre entreprise…

En deuxième partie : un focus sur le point de vue des jeunes.

Télécharger l’étude ici.

Baromètre 2015 de la communication intercommunale

Publié le : 26 mars 2015

Baromètre de la communication intercommunale – 4ème vague

Les résultats du Baromètre 2015 de la communication intercommunale, conduit par l’AdCF, l’agence Epiceum, Occurrence et le réseau Cap’Com, seront présentés lors d’une Journée d’étude qui aura lieu à Rennes le vendredi 10 avril.

 

Plus de renseignements et inscriptions : http://www.cap-com.org/content/journees-detude-sur-la-communication-intercommunale

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