Le premier épisode de la troisième saison de l’émission Data Date, une mini-série dédiée à la RSE, a été présenté sur la chaîne Twitch du Groupe Ifop le 19 octobre dernier. Dans cet épisode, Thomas Pierre analyse la question de l’association du rugby à la Gauche ou à la Droite, Louise Amiot aborde les piliers et les enjeux liés à la communication responsable, un collaborateur de l’Ifop revient sur son parcours professionnel et Enora Lanoe-Danel décrypte la pépite culturelle du mois.
Communication responsable
Comment rendre une communication interne multimarque plus cohérente et compréhensible ?
Un laboratoire français très engagé dans la RSE nous a demandé de conduire une étude de communication interne. Un audit de dispositif a été mené et a montré 2 choses :
1. Que la communication interne de ce laboratoire est très performante (et a fait grimper nos standards Occurrence) !
2. Que des axes d’améliorations se trouvaient notamment dans la gestion de la communication du Groupe vis-à-vis des différentes marques. Ainsi nombre de collaborateurs perçoivent une entreprise à plusieurs vitesses, tant des lignes éditoriales différentes de communication coexistent au sein du Groupe.
Occurrence a donc formulé des recommandations pour rendre plus cohérente la communication interne multimarque du Groupe.
Un acteur de la téléphonie teste sa notoriété et ses avantages compétitifs
Qui a dit que le marché des opérateurs mobile était saturé ? Un acteur français et très engagé dans la RSE est en train de réaliser une étude de notoriété et d’image de sa marque. Qui connait ses offres ? Quels sont les avantages comparatifs de sa marque ? Qu’est-ce qui fait la préférence client aujourd’hui… Et surtout demain ?
Autant de question sont à l’étude et permettront à notre client d’affiner sa stratégie de communication et son discours auprès de ses clients et de ses cibles. Pour cela, 2 vagues d’études sont programmées : la 1ère a eu lieu au printemps 2022 et a permis de réaliser un T0 qui servira de base comparative pour mesurer les évolutions de la notoriété de la marque et de ses critères de différenciation vis-à-vis de ses concurrents après plusieurs mois d’investissements média.
Alors, quel ROI dans la téléphonie ?
Le luxe et la distribution spécialisée se distinguent en termes de responsabilité sociale digitale
Occurrence s’est associé à Big Youth, l’agence digitale du groupe Makheia, afin de créer le premier Observatoire de l’impact positif. L’étude analyse la «responsabilité sociale digitale» de 29 marques françaises de 6 secteurs via leurs sites, évalués selon 45 indicateurs regroupés en 4 critères (utilisabilité, écoconception, accessibilité numérique, efficacité SEO).
Trouver le bon équilibre entre objectifs business et engagement sociétal
Sur son blog, Hervé Monier réalise une interview croisée en présence de Marion Darrieutort et Assaël Adary, intitulée : « Trouver le bon équilibre entre objectifs business et engagement sociétal: le grand défi de 2021 pour les agences et les annonceurs ». Tous deux nous livrent leurs analyses sur le rôle de la communication dans notre tissu économique, l’impact social d’une communication responsable et les mutations du secteur dans une reprise post COVID-19.
Communication : climat 1 – 0 social
Dans une tribune publiée sur TheGood.fr, Assaël Adary s’interroge sur les engagements en termes de responsabilités sociale et environnementale des agences de communication. Alors que la publicité non conforme aux normes écologiques a baissé drastiquement depuis 2006, le Président d’Occurrence s’inquiète du peu de progrès effectués par les agences en matière sociale.
Retrouvez l’intégralité de la tribune sur le site TheGood.fr
La RSE, un levier d’engagement des collaborateurs de plus en plus « actionnable »
Occurrence a réalisé, en partenariat avec Ekodev et Des enjeux et des Hommes, une troisième vague de leur étude sur les perceptions des salariés* du concept de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Une troisième vague qui porte une certitude : le sujet de la RSE progresse significativement pour les salariés des grandes entreprises. Ainsi aujourd’hui près de 90% des personnes interrogées considèrent l’entreprise légitime pour contribuer aux enjeux de Développement Durable. 7 sur 10 accordent de l’importance aux questions de RSE et 40% en font même une condition de performance ! Et les managers, maillon essentiel de la transformation des entreprises, ont une meilleure vision des opportunités de cette démarche (+ 20 points en moyenne), tout comme les salariés qui se disent impliqués dans la stratégie RSE de leur entreprise. Un terreau qui ne demande donc qu’à prospérer ! L’étude complète à télécharger ici.
*Terrain online du 6 au 26 septembre 2017 auprès de 1036 salariés du secteur privé issus d’entreprises de plus de 250 salariés