opendata

Stéphanie Gravière répond à nos questions sur mesure

Publié le : 12 octobre 2017

Stéphanie Gravière, Directrice du planning stratégique d’Epoka

 

Peut-on tout mesurer ?

On ne peut pas tout quantifier – heureusement – mais on peut évaluer l’ampleur, l’importance, la qualité de beaucoup de choses. C’est d’ailleurs tout l’intérêt de notre mission de conseil : savoir capter l’air du temps, décoder les transformations, décrypter les nouvelles attentes, les nouveaux usages… Pour éclairer nos clients dans leurs choix de communication.

C’est à l’aune de la pertinence de ces choix, de leur rencontre avec l’opinion, que l’on peut ensuite mesurer la justesse de l’action et sa création de valeur.


Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La sensibilité, la curiosité, l’acuité.

Savoir écouter avec l’intention d’apprendre est le plus sûr chemin – même s’il n’est pas forcément linéaire – pour progresser. C’est même une qualité de plus en plus précieuse pour déconstruire les idées reçues, démêler le vrai du faux, l’anecdotique de l’authentique, voir plus loin, comprendre les changements à l’œuvre, et les accompagner.

Etre à l’écoute suppose aussi d’être attentif à l’humeur de nos clients, à leur satisfaction et à leur fidélité, meilleure mesure de l’efficacité de ce que l’on propose !

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer)

Le 13, objet de toutes les superstitions, et souvent associé à la fin d’un cycle : après les 12 mois de l’année, les 12 heures de la journée, il ouvre une nouvelle ère, annonce un changement.

Le 13 m’amuse car il est poétique, il invite à l’imagination, à l’interprétation, à la discussion, et à l’écoute des peurs, des croyances, des certitudes les plus irrationnelles. C’est la preuve rassurante qu’il n’existe pas qu’une seule lecture, qu’une seule mesure, du monde qui nous entoure.

 

Octobre 2017.

Occurrence lance le site norp.fr : pour la première fois, des data sur la valeur ajoutée des RP vs. un monde sans RP !

Publié le : 11 octobre 2017

Pourquoi ?
Pour quantifier objectivement la valeur des RP grâce à 22 ans de benchmark dans le secteur des médias.

Comment ?
Avec plus de 800 missions d’analyse médias menées, des référentiels et standards, nous avons évalué leur effet sur 6 indicateurs clés comme le volume, l’audience, l’impact sur l’image …

Résultat ?
Des data sur le ROI, l’impact, la valeur créée … On ne vous en dit pas plus, tout est sur le site !

Linda Gacem répond à nos questions sur mesure

Publié le : 9 octobre 2017

Linda Gacem, Chargée de missions chez Occurrence, répond aux trois questions sur mesure.

 

Peut-on tout mesurer ?

Non puisque si c’était le cas, l’infini n’existerait pas.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le stéthoscope car il permet de prendre le pouls, et je considère que prendre le pouls de la société est le cœur de mon métier.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

80, comme le nombre de battements par minute du cœur humain en bonne santé.

 

Octobre 2017

Rosane Le Roux répond à nos questions sur mesure

Publié le : 9 octobre 2017

Rosane Le Roux, Directrice de la communication de La Macif.

 

Peut-on tout mesurer ?

Heureusement on ne peut pas tout mesurer. La mesure est rassurante, elle permet souvent d’objectiver les actions. Tout mesurer au travail à des fins de productivité est source de démotivations, de mal-être. La mesure doit être conjuguée au sens de l’action pour l’individu.
Enfin, il y a bon nombre de choses importantes pour l’individu qui ne peuvent être mesurées : l’amour, l’accomplissement, la spiritualité.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La balance car elle renvoie à une notion d’équilibre, d’inter connexion (ie l’inverse d’un chiffre qui lu seul donne assez peu d’indications, un chiffre est d’autant plus intéressant que lorsqu’il est mis en perspective/regard d’un autre chiffre, d’une situation)

 

Pouvez-vous nous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le 3 car il est la conjonction du 1 et du 2, il renvoie au mariage de la matérialité et la spiritualité

 

Octobre 2017.

On ne peut pas être à la fois 30 000 et 150 000 à manifester

Publié le : 28 septembre 2017

On ne peut pas être à la fois 30 000 et 150 000 Place de la République ou sur le boulevard Raspail. Non, ce n’est pas possible. Il faut se le dire une bonne fois pour toutes et enfin compter le véritable nombre des manifestants. Ça, c’est possible !

Occurrence via une technologie française développée par Eurecam compte les manifestants avec précision depuis 2007 ! Mais cette année, dans une époque post-Trump, post-Brexit et post-vérité, il semble que nous soyons enfin entendus, notamment par les médias.
Occurrence souhaite apporter le chiffre le plus vrai et le plus fiable possible, c’est ce qui nous anime au quotidien pour servir nos clients. Les data ont besoin de déontologie !

Le 12 septembre par exemple, il y avait 29 329 manifestants lors de la 1ère manifestation contre la réforme du code du Travail. Pour rappel, la préfecture en comptait 24 000, les syndicats 60 000…

Assaël Adary

12 ans d’observatoire Arces / Occurrence !

Publié le : 15 septembre 2017

L’Observatoire Arces / Occurrence des métiers de la communication dans l’enseignement supérieur présente sa 7ème vague, fêtant ainsi 12 années de collaboration

Occurrence a présenté le 9 juin, lors de l’assemblée générale de l’Arces (Association des responsables de communication de l’enseignement supérieur), la 7ème édition de son Observatoire des métiers dont la première vague fut lancée en 2005.

En 12 ans, le métier de communicant au sein de l’enseignement supérieur a profondément changé. La poursuite de la professionnalisation de la filière et le renforcement du positionnement stratégique de la fonction communication au sein des établissements constituent les enseignements phares de ces 12 ans d’études de la profession.

La vague 2017 confirme l’enjeu de la communication interne et révèle celui de l’accompagnement de l’égalité homme/femme, tout comme l’accentuation de la communication auprès des étudiants, principalement sur les réseaux sociaux et le bond significatif du réseau social d’entreprise dans les établissements d’enseignement supérieur.

L’Arces comprend plus de 500 adhérents et rassemble la grande majorité des responsables de communication de l’enseignement supérieur.

Pour télécharger les résultats du baromètre, cliquer ici.

Cartographier, c’est comprendre

Publié le : 19 juin 2017

Le terme de « cartographie digitale » fait florès dans notre secteur mais sa signification précise reste assez inconnue. C’est la représentation graphique d’une grande quantité d’interactions sur les réseaux sociaux sur la base d’une logique simple, une interaction = un lien. Cette représentation très visuelle permet notamment de repérer la source des fake news mais également de suivre la propagation réelle des messages de communication.

Facebook étant particulièrement strict sur le partage des données de ses utilisateurs, c’est surtout sur la plateforme Twitter que cette pratique est utilisée. Des outils tels que celui développé par nos amis français de chez Visibrain permettent d’obtenir les données qui doivent ensuite être analysées par un expert. Cela requiert à la fois des compétences techniques de gestion, des outils de cartographie et d’analyse des écosystèmes.

Identifier les mots et les idées qui sont exprimés sur votre organisation est important, mais comprendre qui parle de votre marque, qui l’attaque et comment ce qui est dit se propage est crucial. C’est pourquoi nous avons acquis les compétences techniques nécessaires et développé des méthodologies innovantes et exigeantes chez Occurrence afin de pouvoir réaliser pour vous des cartographies digitales sur mesure.

Jocelyn Munoz

Benjamin Béchaux répond à nos questions sur mesure

Publié le : 19 juin 2017

 

Benjamin Béchaux, Établissement public du Palais de la Porte Dorée, Directeur du développement, des publics et de la communication

 

Peut-on tout mesurer ?BBx

Bonne question ! Certains en ont peut-être la prétention, mais cela ne me semble ni pertinent, ni souhaitable. Chaque mesure est censée répondre à une question préalable et un usage potentiel. Tout n’a pas nécessité à être classé, noté, comparé. Par ailleurs, si on est incapable d’exploiter les résultats, à quoi bon tenter de les mesurer ? Contentons nous de mieux mesurer ce qui nous importe, ce sera déjà pas mal.

   

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Les vieilles balances à poids. Elles fonctionnent sur le principe d’un équilibre entre deux forces. Je les trouve élégantes, délicates et précises !

   

Pouvez-vous nous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

35, c’est une mesure très personnelle (mais temporaire) qui correspond à mon âge actuel. La mesure du temps, je trouve cela fascinant.

 

Juin 2017.

Christian de La Guéronnière répond aux questions sur mesure

Publié le : 16 juin 2017

Christian de La Guéronnière, Directeur d’Epiceum et consultant en communication d’intérêt général, répond aux trois questions sur mesure.

 

Peut-on tout mesurer ?

Oui et non. Car la mesure masque parfois la démesure, tout comme l’arbre cache la forêt ! Prenons le cas de la musique par exemple : il n’y a pas plus scientifique, mathématique, codifié que le langage musical. Une partition n’est qu’une addition de « mesures » (à deux temps, à trois temps, à quatre temps…) sur laquelle des notes répondent à des règles harmoniques (et donc physiques) extrêmement précises. La musique est l’archétype de l’écriture normée. Et pourtant, quoi de plus indicible, de plus sensible, de plus affranchi des limites et des frontières que la musique ? C’est quand elle s’extrait de sa mesure en devenant son et émotions, que la musique accède à la démesure. Toutes proportions gardées, c’est ce que nous essayons de faire avec la communication « anti-com’ » !

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?ChristianDeLaGueronniere

Filons la métaphore musicale. Je dirais : le métronome. Il est régulier, froid, distant, impitoyable… Le musicien qui n’est pas dans le bon tempo ne peut pas s’en prendre au métronome ; c’est à lui de s’améliorer et non au métronome d’accélérer ou de ralentir ses battements. La qualité d’un instrument de mesure, c’est son indépendance, sa précision et sa franchise. Ce n’est pas de nous faire plaisir…

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Restons dans la musique : je choisis le chiffre 3. Celui de la mesure à trois temps. C’est le chiffre de la valse, qui rompt la monotonie et la binarité, qui introduit gaité et tonicité. On rebondit sur le temps fort et on gazouille sur les deux suivants. Avec trois temps, on est la fois structurés, réguliers, et en même temps libres et créatifs. Voulez-vous danser avec moi ?

 

Juin 2017

Yannick Costa Mendes répond à nos questions sur mesure

Publié le : 16 juin 2017

Yannick Costa Mendes, Chargé de missions sénior chez Occurrence, répond aux trois questions sur mesure.

Yannick Costa Mendes

Peut-on tout mesurer ?

Oui, l’impossible n’existe pas. Toute chose est désignée impossible jusqu’au moment où une personne réussit à le faire. Notre unique contrainte est notre temps, qui est limité.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Mon intuition. Et je constate que le temps, qui est le seul juge universel et incontesté, finit toujours par donner raison à l’intuition ressentie sur le moment. Ce n’est pas propre à ma personne mais à chacun d’entre nous, j’invite chacun à écouter et suivre son intuition, qui est la voix de notre âme. De formidables livres ont abordé le sujet et pas uniquement des livres ésotériques mais bien également des ouvrages scientifiques comme le célèbre livre de Damasio « l’erreur de Descartes ». Dans notre société, nous avons tendance à opposer l’émotionnel au rationnel mais les deux sont liés ! Comme dans notre métier où les études qualitatives sont complémentaires aux études quantitatives. De plus, nous disposons de merveilleux outils pour évaluer notre intuition : les émotions. Les émotions sont les capteurs de notre intuition, elles indiquent si oui ou non nous allons dans la bonne direction. Les émotions agissent comme une sorte de baromètre interne.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

1. Tout fait un, nous sommes tous liés. Chaque action est suivie de conséquences. Nous récoltons dans la vie les fruits de ce que nous avons semés. Les plus grands maitres l’ont compris et c’est en cela qu’il faut toujours être bienveillant avec les autres.

 

Juin 2017

Sylvie Delassus répond à nos questions sur mesure

Publié le : 22 mars 2017

Sylvie Delassus, Directrice de la Communication Externe de Servier, répond à nos trois questions sur mesure

 

Peut-on tout mesurer ?

Oui mais il ne faut surtout pas. Il faut garder la part de subjectif, c’est ce qui nous rend humain. 

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La baguette du chef d’orchestre. Elle a un pouvoir magique, celle de procurer du plaisir.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

3, toujours pour la musique je préfère les rythmes ternaires. Et pour mes 3 enfants.

 

Mars 2017.

Emma Lambré répond à nos 3 questions

Publié le : 17 mars 2017

Emma Lambré, chargée de missions d’études et de conseil chez Occurrence.

 

Peut-on tout mesurer ?

Occ_ELL’homme a ce côté agaçant d’avoir besoin de tout mesurer. C’est une demande de connaissance et de ré-assurance qui suscite cette recherche constante. Même les notions les plus abstraites comme l’intelligence, les sentiments et les humeurs font l’objet de recherches pour quantifier, comparer et maîtriser son environnement.

Ce n’est pas pour rien que Platon affirmait que « l’homme est la mesure de toute chose : de celles qui sont, du fait qu’elles sont ; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont pas. »

Pour moi, certaines choses ne sont pas mesurables mais peuvent être approchées par des indicateurs. C’est toute la subtilité de la chose. Par exemple, le bien-être au travail ne peut pas se mesurer en soi car il s’agit d’un sentiment abstrait et subjectif qui varie selon les individus. Même s’il existe une multitude d’indicateurs permettant de constituer un score de bien-être au travail, il n’en reste pas moins que ces derniers ne pourront être exhaustifs. On le voit d’ailleurs à travers l’absence de standardisation des études sur le bien-être au travail, puisqu’aucune d’entre elles n’est constituée des mêmes indicateurs.

 

Quels est votre instrument de mesure préféré ?

Je dirais la montre parce qu’aujourd’hui nous vivons dans une société « de l’urgence » où nous contrôlons sans arrêt nos faits et gestes par rapport au temps. On voit ainsi se développer des notions de productivité, d’efficacité, de performance… Je ne pense pas que ce soit mon instrument préféré mais il m’est indispensable au quotidien.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le chiffre 2 parce que je pense que l’homme seul n’est rien et que c’est à partir de sa relation avec un autre être vivant (homme ou animal) ou un objet (cf mon mémoire de Master 2) qu’il se construit et fait de grandes choses. Ce 1+1 créé la relation et l’interaction qui est quelque chose de fascinant quand on s’interroge sur le pourquoi et sur le comment on entre en relation avec tel ou tel être vivant/ objet.

 

Mars 2017.

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Emma Lambré est la grande gagnante de la 10ième édition des Trophées des Etudes décerné par le Syntec Etudes.

Plus d’infos ici et le résumé du mémoire d’Emma .

François Chevalier répond à nos questions sur mesure !

Publié le : 15 mars 2017

 

François Chevalier

Directeur général de Start-CitiesF. Chevalier

 

Peut-on tout mesurer ?

On peut mesurer mille choses pour comprendre puis pour agir ? Mais, dans mon métier qui est de faire avancer de grands projets sensibles, je constate que les mesures d’opinion et la veille sont précieuses mais ne suffisent pas. Car, par définition, elles ne disent jamais la suite de l’histoire, le lendemain ! Certes, quand on lance une concertation sur une réforme de société, une mutation d’entreprise, un projet de transport ou de parc éolien… on évalue d’abord l’acceptabilité de ces opérations en vue de les conduire au succès. Mais, ensuite, l’engagement en conseil stratégique se fonde aussi sur l’analyse purement qualitative d’une véritable galaxie de signaux faibles et sur le retour d’expérience qui permet d’activer des scénarios gagnants.

  

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le cadran solaire, car il rappelle l’importance de l’angle de vue, un détail souvent oublié par certains storytellers. Il a aussi l’avantage d’être assez silencieux dans sa manière de faire défiler le temps, de rester plutôt économe en énergie et de savoir raisonnablement s’arrêter la nuit !

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le 5 qui, dit-on, est le symbole de la liberté, du changement, de la mobilité, du dynamisme, de l’aventure, du mouvement. Il symbolise aussi le mois de Mai. Et il y a pire comme saison…

 

Mars 2017

Big ou Bug Data ?

Publié le : 27 février 2017

Big ou Bug Data ? Manuel à l’usage des datadéontologues

Nouvel ouvrage d’Assaël Adary ! – En librairie !

 

Face aux 2,5 millions de téraoctets de données produites BigOuBugData_Adary_2017quotidiennement dans le monde, il y a urgence à sortir des évidences et de la pensée unique. Marketing, RH, sécurité, médecine, élections présidentielles américaines…. le Big Data touche désormais tous les domaines de la vie économique, sociale et politique. Or, son utilisation est loin d’être codifiée ! Le meilleur et le pire s’y croisent, exposant les acteurs de ce nouvel Eldorado numérique à des risques inédits.

Comment les producteurs de données doivent-ils prévenir ces risques ? Comment les consommateurs peuvent-ils s’en protéger ? Quels critères, quelles normes adopter dans cette matière encore peu réglementée ?

Dans son nouvel ouvrage aux Editions du Palio, Assaël ADARY, Président d’Occurrence, livre ses réflexions et ses solutions pour une meilleure utilisation et un encadrement plus vigilant des données à l’heure du Big Data.

 

Cliquez ici pour plus d’information (dont le sommaire de l’ouvrage) et ici pour commander l’ouvrage !

Le gâchis de talents en France

Publié le : 31 janvier 2017

Qu’attendent les Français pour passer à l’action ?

D’après une étude menée en partenariat avec Ticket for Change, 94% des Français ont envie d’agir pour contribuer à résoudre nos grands défis de société. Pourtant, seulement 20% d’entre eux passent à l’action. Un vivier considérable qui ne demande qu’à être activé…

 

Des données et des témoignages de grands acteurs de l’entrepreneuriat dans la présentation ci-dessous : Rapport Gâchis de Talents en France (gachisdetalentsenfrance).

 

 

Enquête menée du 22 décembre au 27 décembre 2016 auprès de 2000 répondants d’un échantillon national représentatif de la population française de 18 ans et plus.

Xavier Marc répond à nos questions sur mesure !

Publié le : 15 décembre 2016

Xavier Marc (EDF – Direction de la Communication Groupe, Attaché de Direction) répond à nos trois questions sur Mesure :

 

Peut-on tout mesurer ?

Rien n’interdit de tenter, mais tout mesurer dexm façon robuste, ce n’est pas certain. Remarque, en s’armant d’un bon pifomètre ou à défaut d’un déconomètre, tout se mesure.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Vous me connaissez, j’allais évidemment dire le sondage – avec toutes ses imperfections maitrisées ou non – et puis j’ai pensé au pluviomètre. Et pourquoi pas ?

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le « 8 », mais version unicode couché, l’infini, quoi ! Uniquement pour le plaisir de détourner votre question.

 

Décembre 2016.

Les Français et le « Commun »

Publié le : 15 décembre 2016

A l’automne, Occurrence a conduit pour le Printemps Républicain une étude auprès d’un échantillon représentatif de 2000 Français de 18 ans et plus autour de la notion de « Commun » : qu’est-ce qu’être Français ? Quels sont les acteurs qui incarnent le mieux le « Commun » ?  Que signifie la République pour les Français ? Comment le « Commun » va-t-il jouer dans la prochaine échéance présidentielle ?

Autant de thèmes sociaux et politiques que l’étude permet de mettre à jour :

Transformation digitale !

Publié le : 15 décembre 2016

Le mot est sur toutes les lèvres et les organisations passent leurs plans stratégiques dans le tamis de ce phénomène de fond. Mais au fait, qui pilote la transformation ? Comment s’organise ce pilotage et la question plus sensible de ses résultats concrets ?

Des réponses pour déminer les idées reçues issues de témoignages de décideurs au sein de 16 grandes organisations.

Une étude conduite par Occurrence : http://www.pilotagetransfodigitale.com.

Emmanuelle Myoux répond à nos Questions sur Mesure

Publié le : 12 décembre 2016

Emmanuelle Myoux (Les Editions textuel, Directrice des partenariats) répond à nos trois questions sur Mesure :

 

Peut-on tout mesurer ?

Sans aucun doute, non ! Tout n’est pas quantifiable. Par définition, les émotions, les sentiments, les idées ne se mesurent pas.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le plus ancien et le plus naturel : le soleil !

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le 2, le nombre de l’association, de l’union, de la collaboration.

 

Décembre 2016

Thomas Millard répond à nos questions sur mesure

Publié le : 12 décembre 2016

Thomas Millard (Occurrence, Chargé de Missions) répond à nos trois questions sur Mesure :

 

Peut-on tout mesurer ?

millardCela revient à se demander si nous pouvons tout rendre mesurable, intelligible, comparable… Je préfère garder une part d’irrationnel – voire de magie – dans toutes les grandes choses et les petits riens qui font notre quotidien.

Cela dit, si nous pouvions tout mesurer, nous serions capables de prendre des décisions face à tous les choix cornéliens que Pierre Palmade propose dans un de ses sketchs. Jusqu’à maintenant, je suis incapable de savoir si je préfère avoir une tête de veau ou des bras de neuf mètres… Et vous ?

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?
L’accordeur ! Pour mesurer la hauteur du son des différents instruments d’un groupe, donner le “la” aux différents instruments d’un groupe et ainsi mettre un peu d’harmonie dans ce monde.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?
4. Le nombre de cordes de mes basses et de mon ukulélé. Mais j’aurais pu dire « 6 », en pensant à mes guitares.

 

Décembre 2016

36

Publié le : 9 décembre 2016

C’est le nombre d’éditions de notre baromètre le plus ancien ! (à raison de 2 éditions par an)

Occurrence a lu pour vous…

Publié le : 9 décembre 2016

Occurrence a lu pour vous…

Tout au long du trimestre, Occurrence vous a proposé de découvrir ou redécouvrir des textes majeurs sur le secteur de la communication, sur le Big Data, sur l’entreprenariat ou encore sur notre société.

Vous pouvez toujours les retrouver en ligne :

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Ou télécharger le PDF de synthèse des 22 textes en cliquant ici !

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Comprenant l’ensemble des synthèses d’ouvrages de Thibault Le Texier, Isaac Getz et Brian M. Carney, Jean-Pierre Le Goff, Gilles Babinet, Patricia Paperman et Sandra Laugier, Michel Lallement, Jean-Pierre Le Goff, Daniel Cohen, Eric Dacheux, Danilo Martuccelli, Isabelle Bruno, Emmanuel Didier et Julien Prévieux, Eric Ries, Christian Salmon, Etienne Augé, C. Braconnier, N. Mayer…

 

Bonne lecture !

Occurrence a lu pour vous…

Publié le : 6 décembre 2016

Etre à l’écoute du risque d’opinion

Jean-Pierre Beaudoin (2001)

 

Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

Il n’existe pas de recette miracle pour gérer le risque d’opinion. Des solutions sont à trouver au jour le jour en fonction de la situation et des années d’expérience. Il faut donc apprendre à gérer l’opinion, plutôt que de lutter contre. L’opinion peut être représentée comme un débat entre diverses positions de groupes ayant chacun leurs intérêts et convictions propres.

[…]

L’entreprise doit donc agir préventivement sur le récepteur via 4 formes principales :

  • La prévention de l’écho
  • La concurrence du bruit
  • La concurrence par la diversion
  • L’abstention

 

Cliquez ici pour télécharger (et imprimer !) la synthèse complète et détaillée du livre !

Occurrence a lu pour vous « L’âge du faire : Hacking, travail, anarchie »

Publié le : 30 novembre 2016

L’âge du faire : Hacking, travail, anarchie

Michel Lallement (2015)

 

Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

 

 

Michel Lallement s’est rendu dans le hackerspace le plus connu de San Francisco, Noisebridge et a fait une observation participante d’un an. Son livre traite du monde des hackers. Tout au long du livre il développe sa thèse : le modèle de travail utilisé par les hackers peut remplacer notre modèle actuel.

Pour Michel Lallement le système actuel sur lequel reposent les entreprises est obsolète, car il engendre diverses conséquences néfastes pour notre santé. Il propose, donc, une alternative à notre système, celui des hackers.

Actuellement, les entreprises mettent énormément de pression sur leurs employés, car ils sont soumis aux exigences du marché économique, ce qui engendre diverses conséquences : stress, burn-out, plus de plaisir à travailler, etc.

 

Cliquez ici pour télécharger (et imprimer !) la synthèse complète du livre !

 

 

Quand la liberté des salariés fait le succès des entreprises

Publié le : 28 novembre 2016

Quand la liberté des salariés fait le succès des entreprises

Isaac Getz et Brian M. Carney (2012)

 Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

 

Isaac Getz et Brian M. Carney font référence au professeur McGregor et à sa distinction entre les deux manières de diriger une entreprise : la « théorie X » et la « théorie Y ».

  • Selon la « théorie X », l’homme éprouve une aversion pour le travail et l’évitera s’il le peut. Il est dès lors indispensable de le contraindre, contrôler, diriger ou menacer de sanctions pour le convaincre d’accomplir l’effort nécessaire à l’atteinte d’objectifs organisationnels. Enfin, il préfère être dirigé et échapper aux responsabilités.
  • A contrario, pour la « théorie Y » dont McGregor était convaincu de la supériorité, l’effort physique et mental au travail est aussi naturel que le repos. Sans contrôle ni menace, l’individu se dirigera lui-même au service d’objectifs organisationnels qui recueillent son adhésion, et il en sera gratifié par la satisfaction de son ego et de ses besoins de réalisation personnelle…

 

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Occurrence a lu pour vous… Malaise dans la démocratie

Publié le : 16 novembre 2016

Malaise dans la démocratie

Jean-Pierre Le Goff – 2005

Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

 

Dans Malaise dans la démocratie, Jean-Pierre Le Goff traite de l’érosion de nos ressources intellectuelles, morales, philosophiques et religieuses depuis la fin du 20ème siècle. Ce processus ayant pour conséquence de rendre l’Europe faible et sans défense face aux mercenaires souhaitant notre perte. Pour justifier de tels propos, J.-P. Le Goff va présenter des éléments qui illustrent et critiquent la phase de crise que l’Europe est en train de traverser.

L’auteur prend l’événement de Mai 68 comme point de départ du déclin de la démocratie européenne qui s’opère actuellement.

 

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Occurrence a lu pour vous… Le monde est clos et le désir infini

Publié le : 10 novembre 2016

Le monde est clos et le désir infini

Daniel Cohen – 2015

Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

 

Bien que depuis la naissance de la Terre, de multiples évolutions soient survenues et aient causé des impacts d’une importance redoutable sur celle-ci, l’homme est venu casser le rythme de ces longs changements. Les humains ont instauré une nouvelle dynamique au monde, car ils sont capables d’innover sur des périodes courtes, provoquant des bouleversements et modifications sur terre d’une rapidité sans précédent.

 

Cliquez ici pour télécharger (et imprimer !) la synthèse complète du livre !

 

Les constructeurs Automobile sur les réseaux sociaux

Publié le : 4 novembre 2016

Bilan de la présence des constructeurs au Mondial de l’Automobile sur les réseaux sociaux

 

Lors du Mondial de l’Automobile 2016, Occurrence a décortiqué la présence des constructeurs sur les Réseaux Sociaux.

Renault avait l’actualité la plus visible et BMW a généré le plus d’engagement de ses followers mais c’est Maserati qui a atteint, et de loin, le plus fort indice de « viralité » (= engagements sur nombre de publications).

 

« Si le web social a reflété la passion de l’automobile, il a beaucoup moins relayé les grandes innovations en matière de voitures électriques ou autonomes. » précise Stéphan Robert de Montgrand, responsable du pôle Médias & influence.

 

Plus de détails sur notre études plus détaillés dans notre Communiqué de Presse ou en écoutant l’interview de Stéphan Robert de Montgrand sur AutoK7.

Occurrence a lu pour vous… La nouvelle société du coût marginal zéro

Publié le : 3 novembre 2016

La nouvelle société du coût marginal zéro

Jeremy Rifkin – 2014

Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

 

Jeremy Rifkin propose un scénario qui pourrait paraître assez utopiste pour la plupart des gens mais qui est pourtant enclenché depuis plus longtemps qu’on ne le pense.

« Imaginons que la logique opératoire du système capitaliste réussit au-delà des espoirs les plus fous. Le jeu de la concurrence conduit alors à la productivité extrême et à l’optimum du bien-être général » : à ce stade final, une concurrence acharnée, en imposant l’introduction d’une technologie toujours plus économe, dope la production jusqu’au point optimal où chaque unité supplémentaire mise en vente approche du coût marginal quasi nul »

« Je sais bien que cela paraît totalement incroyable à la plupart des gens : on nous a tant conditionnés à croire le capitalisme aussi indispensable à notre bien-être que l’air que nous respirons ! (…) Mais en réalité les paradigmes économiques ne sont pas des phénomènes naturels ; ce sont de simples constructions humaines »

 

Cliquez ici pour télécharger (et imprimer !) la synthèse complète du livre !

Occurrence a lu pour vous… Statactivisme

Publié le : 28 octobre 2016

Statactivisme : Comment lutter avec des nombres

Isabelle Bruno, Emmanuel Didier et Julien Prévieux – 2014

Occurrence a lu pour vous…

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence

 

« Le statactivisme, qui est un néologisme de notre invention, doit être compris à la fois comme un slogan à brandir dans des luttes et comme un concept descriptif, utilisé pour qualifier les expériences visant à se réapproprier le pouvoir émancipateur des statistiques », écrivent Isabelle Bruno, Emmanuel Didier, Julien Prévieux et Cyprien Tasset dans l’introduction.

 

Cliquez ici pour télécharger (et imprimer !) la synthèse complète du livre !

Occurrence a lu pour vous « Start with why » de Simon Sinek

Publié le : 24 octobre 2016

Commencer par pourquoi. Comment les grands leaders nous inspirent à passer à l’action (Start with why)

Simon Sinek – 2011

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence.

 

Tous les leaders – individus ou organisations – pensent, agissent et communiquent de la même façon. La clé : faire le contraire des autres : pourquoi, comment et quoi.

– Le quoi : c’est ce que l’entreprise fait.

– Le comment : c’est comment elle fait ce qu’elle fait. Souvent d’ailleurs, les entreprises se servent de ce comment pour expliquer en quoi elles sont différentes et meilleures que les autres (leur valeur ajoutée, les qualités des produits, etc.).

– Le pourquoi : comme l’auteur le souligne, très peu d’entreprises ou de personnes parviennent à expliquer clairement pourquoi elles font ce qu’elles font.

 

Téléchargez (et imprimez) la synthèse en trois pages en cliquant ici !

Occurrence a lu pour vous : « Sauver la communication » de Dominique Wolton

Publié le : 5 octobre 2016

Occurrence a lu pour vous :

Sauver la communication de Dominique Wolton (2007)

Note de synthèse rédigée par des étudiants de l’UCL et relue par Occurrence.

 

Tout au long du livre, Dominique Wolton désire démontrer la fragilité et la complexité de la communication. Omniprésente et considérée comme banale, la communication est complexe et parfois mal comprise.

« Communiquer, finalement c’est toujours vouloir comprendre le monde. Cela suppose que l’homme puisse s’ouvrir au monde. D’où l’essor formidable, depuis le XVIIe siècle, du livre de la presse, du téléphone, de la radio, de la télévision d’Internet. Communiquer, c’est être libre, mais surtout reconnaître l’autre comme son égal ».

 

Téléchargez (et imprimez) la synthèse en trois pages en cliquant ici !

Jennifer Lacourt répond à nos questions sur mesure

Publié le : 26 septembre 2016

Jennifer Lacourt (KissKissBankBankWebmarketing Manager) répond à nos trois questions sur mesure :

 

Peut-on tout mesurer ?

jenniferkkbbImpossible !

Par nature, la mesure n’existe pas. C’est une évaluation. L’évaluation est une détermination. La détermination, elle, est une décision.

De facto, peut-on décider de tout ? A nouveau, impossible !  La clé est de ne surtout pas redouter l’imprévisible !

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La montre : le temps est devenu précieux, rare de nos jours. Nous avons beau chercher à l’apprivoiser, il file à toute vitesse. J’adore les montres tant par la beauté de l’objet que par sa faculté à nous rappeler que rien n’est figé.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

J’ai toujours aimé les chiffres. Chacun a sa particularité, sa signification et sa complexité. Selon le contexte, ils peuvent tous me caractériser, m’influencer d’une manière ou d’une autre.

 

Septembre 2016.

Céline Mas répond aux Questions sur Mesure !

Publié le : 26 septembre 2016

Peut-on tout mesurer ?

masSans aucun doute, non ! La mesure est un éclairage, un aiguillon, un approfondissement. Elle est pertinente utilisée à bon escient au service des décisions. Tout mesurer sans cesse revient à ne plus rien voir distinctement ou à ne pas reconnaître les vertus du moyen et long terme. En mesure comme pour tout, il faut trouver son rythme.

Par ailleurs, les sentiments ne se mesurent pas. Quand on dit je t’aime beaucoup plutôt que je t’aime, ce n’est pas forcément bon signe.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le marque-page qui me permet de me situer dans mon chemin de lecture, car je dévore les livres et surtout les romans : ce qui a été lu, ce qui reste à lire. C’est un instrument utile au quotidien et qui peut être très esthétique. J’en fais la collection.

 

Votre chiffre préféré ?

Toujours le même, le 7. Chiffre symbolique qui m’a très souvent porté bonheur. Chez les Egyptiens, le 7 indique le sens d’un changement après un cycle accompli et d’un renouveau positif.

 

Septembre 2016

Huit français actifs sur dix se sentent « engagés » dans leur vie professionnelle

Publié le : 25 septembre 2016

C’est ce que révèle l’étude « Les Français actifs et l’engagement dans le milieu professionnel » réalisée par Publicis Consultants et Occurrence.

Cliquez ici pour télécharger l’étude.

 

« La notion d’engagement n’a jamais été aussi présente qu’aujourd’hui dans notre société, et dans des domaines aussi variés que la citoyenneté, la sécurité nationale ou la consommation de produits et services. A un moment où la question du travail a été largement questionnée, souvent de façon passionnée jusque dans la rue, il nous a semblé intéressant de mieux cerner la nature de l’engagement des Français vis-à-vis de leur entreprise » souligne Thierry Herrant, en charge du pôle Image et contenus chez Publicis Consultants.

 

Les réponses des Français sur leur engagement au travail sont riches d’enseignements, en témoignent l’étude sur l’engagement des salariés envers l’entreprise :

 

1 – Des Français très impliqués dans leur travail mais à une condition le respect de l’équilibre vie privée/professionnelle.

 

2 – Trois profils de l’engagement professionnel émergent fortement : les jeunes cadres « connectés » prêts à s’investir fortement pour leur entreprise, des femmes de 35 et +  davantage tournées vers les valeurs humaines de l’entreprise, les employés/ouvriers très en retrait en matière d’engagement mais en attente de reconnaissance.

 

3 – Dans une société où la défiance est en constante progression, l’étude pointe une confiance dans l’avenir de leur entreprise et un engagement personnel dans la réussite de celle-ci, pour huit répondants sur dix.

 

4 – Une proportion importante des salariés français prête à s’engager au-delà de ce qui est attendu d’eux et à en faire bien plus que ce qu’on leur demande.

 

5 – Rémunération attractive, perspective d’évolution professionnelle, qualité de vie au travail, management bienveillant, les quatre principaux leviers pour susciter l’engagement au travail.

 

« En conclusion, nous avons été assez surpris de constater des scores d’engagement supérieurs à 10 points à ceux de nos standards qui sont issus des grandes entreprises en France. Cela est très positif quant à la dynamique économique à l’échelle des territoires et des PME/PMI et autres artisans et indépendants. Et cela souligne, en creux, l’impérieuse nécessité pour les grandes entreprises de ne pas décrocher plus encore en matière de confiance, avec l’enjeu clé de « réenchanter » et nourrir les relations sociales en leur sein. » précise Pierre Chavonnet, directeur du pôle Marques et transformation d’Occurrence.

Septembre : le mois de la mesure !

Publié le : 22 septembre 2016

Il existe une journée mondiale de la vie sauvage (3 mars) ou encore une journée mondiale du Yoga (si, si le 21 juin, le même jour que la fête de la Musique !), nous avons désormais le mois de la Mesure, septembre !

Décrété par la très sérieuse AMEC (Association internationale pour la mesure et l’évaluation de la communication) ce mois vise à sensibiliser le secteur de la communication à l’impératif de mesure pour légitimer toujours davantage la fonction. Occurrence s’associe bien évidemment à ce mois qui magnifie notre métier… tout en rappelant que pour nous ce sont plutôt les décennies de la mesure. 21 ans consacrés à l’évangélisation des communicants : oui la communication peut se mesurer et doit se mesurer pour démontrer la création de valeur qu’elle génère pour l’entreprise !

Philippe Amargier répond à nos 3 questions !

Publié le : 21 septembre 2016

Philippe Amargier, Co-fondateur de l’agence VERYGOODCHOICE, répond à nos questions sur mesure.

 

Peut-on tout mesurer ?

Non heureusphilippeement. Nous faisons un métier où l’humain est central. Son côté imprévisible ne nous permet pas de tout mesurer, anticiper, programmer… et laisse de la place pour la spontanéité.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le thermomètre, car plus il fait beau, plus le sourire des gens est au beau fixe… et également les « likes » sur mes publications pro et perso 😉

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

2014. C’est l’année de la création de l’agence Verygoodchoice. Une brand boutique indépendante qui ambitionne d’avoir un impact sur la destinée des entreprises et des individus.

 

Septembre 2016

Et vous… avez-vous mal à votre climat social ?

Publié le : 12 juillet 2016

courseComment parler de fierté d’appartenance à un millenial qui questionne l’impact positif des entreprises sur la société ? Comment évaluer l’engagement d’un cadre équipé d’un smartphone et qui ne s’arrête jamais ? Comment interroger la compréhension de la transformation par le salarié sans la relier à sa qualité de vie au quotidien dans l’entreprise ?


Fait générationnel, transformation numérique et motivation sous conditions imposent à l’entreprise de revisiter la relation à ses salariés… et la façon de la mesurer !

Mardi 5 juillet 2016, on pouvait lire sur le site du Figaro à propos de la Loi travail : « Voilà presque quatre mois jour pour jour que la contestation persiste et que les politiques s’écharpent sur ce projet de loi, plongeant le pays dans un climat social délétère. »

Une expression générique du climat social qui n’est pas celle retenue par l’institut Occurrence lors de son petit déjeuner du 28 juin dernier sur les indicateurs du climat social (ou plutôt sur leur nécessaire évolution !). Revenons donc à une définition pertinente pour toute entreprise ou organisation qui emploie quelques collaborateurs ou quelques milliers : Le climat social est l’évaluation de l’équilibre du contrat moral passé entre l’entreprise et les salariés, perçu par ces derniers à un instant t.  Cette définition intègre la notion d’équilibre, héritage de la norme de réciprocité édictée dès les années 60 par Alvin Ward Gouldner[1]. Norme qui permet de développer des relations durables, basées sur le respect des obligations et le sentiment de redevabilité et crée ainsi un « climat économique ».

Hors depuis dix ans, et de façon accélérée ces dernières années, ce sentiment de redevabilité du collaborateur, fondé sur le simple fait d’avoir un travail, a pris un sacré coup de vieux ! Il ne suffit plus pour générer de la fierté et de l’épanouissement chez le salarié. Et encore moins pour lui permettre de trouver le fameux « bonheur au travail », si à la mode et pourtant devenu si incertain…

« Comment ça ? Mes troupes ont du boulot et des avantages sociaux au moment où plus de trois millions de leurs compatriotes sont inscrits à Pôle Emploi… et en plus ils ne sont pas heureux ? ». Au-delà de cette caricature d’un employeur moyenâgeux les raisons de questionner le modèle – ou sa fin – du côté du salarié sont nombreuses ; précarité de l’emploi, l’omniprésence du stress au travail qui dégrade fortement l’équilibre de la vie privée, mais aussi la charge de travail vécue comme trop importante[2] ou encore le manque de sommeil, comme l’a souligné une récente étude[3] Occurrence.

A cette redevabilité qui ne va plus de soi s’ajoute l’arrivée en masse sur le marché du travail d’une génération Y[4] qui revendique un droit d’inventaire sur le job qu’on lui propose : « We don’t value 20th century workplace rules.[5] » L’entreprise pourra-t-elle leur donner plus de « sens » sur son ambition et l’embarquer, en respectant son individualité, dans la co-construction d’une aventure collective ? A ce stade nombre de startups y parviennent, tandis que les grandes entreprises y travaillent encore. De la même manière, elles font leur transformation digitale qui, comme tout changement culturel, impose d’accompagner et de considérer le temps nécessaire pour acculturer le corps social à ces évolutions ; ouvrant ainsi le sésame de la transversalité, graal de l’entreprise agile !

Cette mutation profonde du rapport au travail (dont les facteurs et les ressorts ne sont pas listés ici de façon exhaustive) impose donc aux DRH une grande modernisation de leur approche pouvant être résumée en 5 combats[6] et dont nous citons celui qui fait le plus écho à notre propos : « de la confiance plutôt que du contrôle ». C’est le fer de lance de l’entreprise libérée qui a tant de mal à s’imposer en France au-delà de quelques expérimentations mais qui semble pourtant montrer le bienfondé d’une approche jouant sur la responsabilisation et l’autonomie comme facteurs de motivation. Selon nos études, ce n’est d’ailleurs pas une approche spécifique aux millenials ou aux plus jeunes : l’âge ne doit pas être considéré comme la seule ligne de fracture, loin s’en faut, alors même qu’un courant du consulting aurait tendance à en faire une loi d’airain. L’ancrage géographique, la CSP d’origine ou encore le secteur concerné jouent tout autant dans la définition d’un nouveau rapport au travail.

Et c’est sur ce constat de la nécessité de renouer avec un rapport plus équilibré -dans la réciprocité- entre entreprise et employés, qu’Occurrence s’est penché sur la mesure d’une confiance mutuelle retrouvée fondée sur ces trois postulats de départ :

  • investir de nouveaux aspects du contrat social ;
  • en moderniser le registre sémantique ;
  • et miser sur l’alliance d’indicateurs standards et spécifiques.

La notion d’innovation sociale est évidemment cruciale pour toute entreprise qui voudrait réussir sa transformation digitale. Qui pourrait croire qu’elle y parvienne sans innover dans son contrat social et son modèle d’organisation. Ne ferait-elle pas la course avec ses jeunes compétiteurs sur une seule jambe avec peu de chances de faire de belles performances… ? D’autres sujets sont également devenus incontournables comme celui, central, de l’engagement, pour lequel Occurrence va porter plusieurs initiatives à la rentrée de septembre.

Quant à la modernisation du registre sémantique, il suffit de vous pencher sur votre dernière enquête de climat social pour que vous y remarquiez le prisme handicapant d’une entreprise « émetteur en chef » : tout est dit à l’heure du collaborateur média ! Quant à « climat social » (ou « climat interne ») ne peut-on pas trouver de formulation plus… apaisée et valorisante pour évaluer un contrat social redynamisé ?

Enfin, pour bien se mesurer (avec l’idée de s’améliorer) il faut pouvoir se comparer. De ce point de vue, on ne peut donc pas se passer des indicateurs standards d’aujourd’hui et de demain. Toutefois la confiance ne se nourrit pas de « modèles sur étagère » et la personnalisation pour chaque entreprise et organisation d’une enquête interne est clé pour la reconnaissance et la considération que chaque répondant pourra y trouver.

Et si on parle considération, revenons, pour conclure, à la loi travail dont nos confrères instituts nous disent que les Français sont majoritairement contre, alors là même que ces derniers se prononcent pour une nouvelle tendance politique à la tête de l’État en 2017… qui ne cache pourtant pas sa volonté d’amplifier les mesures de cette loi. Ne peut-on pas envisager dès lors que, collectivement, croissance et illusions en berne, consciemment ou non, nous exprimions dans ce rejet notre souhait que l’entreprise change. Qu’elle devienne plus nôtre et attentive à notre relation de travail et le sens qu’on en attend. Alors si vous êtes aux commandes n’attendez plus : prenez le chemin de l’« entreprise attentionnée » et faites du bien à votre climat social… il vous le rendra et on saura vous le mesurer !

Pierre Chavonnet, directeur pôle marques et transformation d’Occurrence

1 https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2008-2-page-97.htm
2 Cegos, baromètre climat social, 2015 : http://www.cegos.fr/Pages/climat-social-qualite-de-vie-barometre-cegos.aspx
3 http://occurrence.fr/16-milliards-dheures-de-sommeil-de-dette/
4 Les « Y » représenteront 75 % des actifs dans le monde d’ici à 2025 (Etude de Deloitte et du Brookings Institute 2015)
5 Ray Gillenwater, Co-Founder and CEO of SpeakUp, Entrepreneur, May 29 2015
6 Le DRH sur le ring : 5 combats, La Tribune,  Emmanuelle Duez, The Boson Project, 21/06/2016

Eric Camel répond à nos questions sur mesure.

Publié le : 21 juin 2016

Eric CAMEL, Angie, Président-Directeur Général

 

Peut-on tout mesurer ?

Oui, sauf l’infini. Et encore certains physiciens en contestent l’existence.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La fréquence cardiaque.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

18 (l’appel, la date de mon mariage, la majorité).

 

Juin 2016.

Thomas Skorucak répond à nos Questions Sur Mesure

Publié le : 16 juin 2016

Thomas Skorucak, Occurrence, Directeur d’Etudes

 

Peut-on tout mesurer ?

La mesure est performative : c’est elle qui instaure le « tout » en question. En ce sens, si la production d’un objet et sa mesure procèdent d’un même geste, alors n’existe que ce qu’on peut mesurer… Mais je ne crois pas qu’on puisse circonscrire par la mesure l’étendue du domaine du non-mesurable, aussi vaste ou infime soit-elle.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le soleil !

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Un peu plus de 1000… C’est le nombre d’ouvrages que compte ma bibliothèque à ce jour.

 

Juin 2016.

Tuons le mythe d’Icare

Publié le : 14 juin 2016

Tuons le mythe d’Icare

 

Oui les annonceurs mesurent davantage et mieux la communication en 2016 qu’en 1995. A l’époque, évoquer simplement le fait que « c’était possible » relevait du surnaturel. Aujourd’hui, dans un monde qui a placé la performance et sa mesure en dogmes, affirmer que la communication constitue un objet mesurable est acceptable et accepté.

Oui les annonceurs ont compris qu’il fallait avant tout mesurer des dispositifs et pas seulement des outils. L’évaluation est plus sophistiquée, moins simple, plus coûteuse mais tout simplement plus juste tant l’efficacité se joue de plus en plus à la croisée des actions, dans les interstices des outils. Mesurer une efficacité en silo n’a plus de sens aujourd’hui.

Oui les annonceurs et les agences acceptent d’évaluer les effets et pas seulement les moyens… mais ce n’est pas toujours facile de l’accepter tant il est plus confortable de simplement compter des likes ou des shares que de se questionner sur les effets vraiment produits au bout de la chaîne de valeur.

Oui les agences acceptent un peu plus de voir le mesureur s’immiscer dans l’intimité de leur relation avec les annonceurs. Ce troisième larron, ce « tiers de confiance », parfois adulé, souvent honni ou conspué selon les résultats qu’il apporte. La vérité est parfois douloureuse mais toujours salvatrice. Aujourd’hui comme il y a 20 ans et comme dans 20 ans, rappelons que pour mesurer sereinement on ne peut pas être juge et partie !

Oui le Digital à la fin du XXème siècle a, dans un premier temps, violemment et fortement développé la culture ROIste de la communication en ringardisant les vieux métiers : paiement à la performance, à la transformation… pas simple de suivre pour les autres métiers de la communication.

 

Et puis, force est de constater, aujourd’hui, que ce n’est pas si simple de mesurer la performance, la vraie, du digitale. Il y a beaucoup de mensonges, de fake dans les KPi numériques : faux fans, faux trafic, faux commentaires, et tout cela dans des proportions tellement importantes qu’il faudrait être la NSA (et encore !) pour être en capacité de certifier les indicateurs.

 

Mais reste, en 2016, un frein redoutable à l’évaluation de l’efficacité de la communication, un mur plus haut et plus robuste qu’il y a 20 ans : la peur !

La peur de « savoir si ça marche vraiment ou pas », la peur de « s’approcher de la Vérité qui pique et qui brûle », la peur de l’échec qui sera considéré comme une faute alors même que bien analysé et compris il est une chance (test & learn).

Tant que les annonceurs et les agences ne voudront pas connaître la vérité sur la performance de leur stratégie, la mesure ne sera qu’un passe temps que l’on s’offre quand tout ne va pas trop mal et qu’il reste un peu de budget. La mesure restera une discipline discutée, débattue, philosophiquement acceptée mais rarement pratiquée.

 

Communicants, n’ayez pas peur !

La mesure est probablement, en 2016, votre meilleure amie pour légitimer et crédibiliser votre fonction. Icare n’est qu’un mythe, rapprochons nous du soleil sans crainte.

 

Assaël ADARY

 

Juin 2016.

Marie Fresnel répond à nos trois Questions sur Mesure !

Publié le : 13 juin 2016

Marie Fresnel, Manager Communication, Direction Développement GRDF

MarieFresnelGRDF

 

Peut-on tout mesurer ?

Dans l’absolu tout ne se mesure pas.

Reste que les Communicants gagneraient à prendre plus franchement le virage de la mesure. A date, les réflexes ne sont pas ancrés. C’est pourtant déterminant pour positionner la fonction communication à sa juste valeur.

Nous devrions tous devenir des « chercheurs » de KPI et de ROI, pour mettre en lumière les investissements, mettre en perspective les bénéfices, valoriser la valeur ajoutée et optimiser l’efficacité des actions.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La balance. Pour peser, comparer, équilibrer.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

O (zéro)

Avant même de démarrer. Quand tout est encore possible.

Et parce que visuellement c’est le chiffre que je trouve le plus esthétique. Le cercle représente l’unité. Il n’a ni commencement ni fin, ce qui en fait un symbole universel d’éternité.

 

Juin 2016.

Whoua-haha-grrr, ma réaction à Facebook Reactions

Publié le : 22 mars 2016

Hier on se demandait si « liker s’était s’engager ? » et déjà y répondre n’était pas simple.

Aujourd’hui, stop au « Like » multi-sens, place aux six réactions « j’aime », « j’adore », « haha », « waouh », « triste » et « grr ».

Hummm… [= perplexité], comment mesurer l’impact d’un contenu à l’aune de ces nouveaux critères ? Crr-Crrr-Crrr [= réflexion intense du cerveau].

 

Occurrence, qui mesure la performance des dispositifs réseaux sociaux, proposera donc des rapports sous la forme d’une équation complexe :

Performance Facebook = [(1000 likes + 50 haha)] x (3 Waouh) – [(300 « triste » x 120 « Grr »)] / [commentaires positifs – commentaires négatifs]

Et d’ailleurs, ne peut-on pas avoir deux réactions face à un post ? Une tristesse teintée de colère, une joie teintée de mélancolie … et comment dire « je t’aime … moi non plus ».

 

Soyons clairs ces analytics ne permettront pas de comprendre l’engagement réel des publics aussi bien que nos études quantitatives et qualitatives qui interrogent réellement l’opinion des publics touchés… l’opinion derrière les Réactions !

Mais qui osera vraiment mesurer ce qui se cache derrière ces « Réactions » ?

 

Assaël ADARY

Laura Kwiatowski répond à nos trois questions sur mesure !

Publié le : 21 mars 2016

Laura Kwiatowski, Engie, Directrice du Développement et de l’Innovation

 

Peut-on tout mesurer ?

Heureusement que non ! Dans nos vies comme dans les métiers de la communication, prendre la bonne décision et avoir de l’impact relève tout autant du suivi savant d’indicateurs précis que de l’insaisissable. Ce petit quelque chose « en plus » de l’ordre de la vision, de l’inspiration, de l’intuition suffit souvent à distinguer les leaders des suiveurs.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Dans une entreprise énergétique, ce ne sont pas les instruments de mesure qui manquent ! Ne pouvant en choisir un seul, je vais vous faire une réponse beaucoup plus personnelle : la balance de cuisine, une acquisition très récente qui a changé ma vie de pâtissière débutante et m’a enfin permis de ne plus me ridiculiser en famille avec des gâteaux ratés …

 

Pouvez-vous me donner un chiffre qui vous caractérise et me l’expliquer ?

Je dirais le 1. Ce « un » a suffi à rassembler les 155.000 femmes et hommes d’ENGIE sous une marque unique, à travers le déploiement d’un projet « one brand, one company » qui est en train de transformer petit à petit le rapport à nos clients partout dans le monde. Ce 1, c’est aussi le chiffre de la responsabilité : lorsque nous portons tous le même nom, chaque collaborateur se doit d’incarner et porter haut les valeurs et l’éthique de tout le Groupe.

 

(mars 2016)

Emilie Hauser répond à nos trois questions sur mesure

Publié le : 16 mars 2016

Emilie Hauser, Directrice Générale de BigMitch nous répond !

emilie NB

Peut-on tout mesurer ?

L’Homme est aujourd’hui capable d’ébaucher des hypothèses, pour mettre des indicateurs en place, et d’inventer les outils de mesure dont il a besoin. Mais il y a une différence entre mesure et anticipation des résultats.

Oui nous pouvons presque tout mesurer mais tout expliquer est compliqué et tout anticiper est une douce utopie. A date la mesure omni-canal n’est pas encore totalement maitrisée. Elle permet de comprendre et d’anticiper les comportements de façon grossière. Mais nous sommes encore loin du saint graal qui est de pouvoir mesurer et anticiper les émotions. C’est ce qui fait que l’humain n’est pas un ordinateur.

Les progrès de l’intelligence artificielle sont bluffants dans ce domaine : Cf.Google bat Lee Se-Dol, la première victoire de la machine face à l’homme au jeu de go.

Néanmoins, il existe encore beaucoup de barrières à l’entrée pour les annonceurs. Ces innovations sont, pour le moment, réservées à la sphère scientifique.

 

Coté agence, nous maitrisons la probabilité mais pas la vérité. Malgré les progrès sur l’intégration de la data dans le mix marketing, nous sommes encore sur un marketing du plus petit dénominateur commun pour optimiser le ROI. L’exploitation de la mesure reste collective donc sacrificielle.

Il reste un environnement non-maîtrisable, et tant mieux : LE LIBRE ARBITRE. La montée des Adblokers en réponse à la généralisation de publicité programmatique en est un excellent exemple.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Plus que par un instrument, je préfère répondre par un critère : LA SATISFACTION DES CONSOMMATEURS.

Aujourd’hui c’est le consommateur qui a le pouvoir, et il mène la vie dure aux annonceurs. Mais par la maîtrise des nouvelles technologies, la satisfaction des consommateurs permet de faire tomber les remparts oligarchiques et l’attention qu’Uber porte à l’expérience client le démontre très bien. Autre exemple ; « Chez Apple je ne me retrouve plus dans une file d’attente, parce que je suis unique… ».

Il faut s’attacher à répondre à des besoins : service, considération, estime, valorisation… le sommet de la pyramide de Maslow pourrait être le référentiel de la satisfaction.

 

Pouvez-vous me donner un chiffre qui vous caractérise et me l’expliquer ?

30, parce qu’au dessous de 30° je gèle 😉

Plus sérieusement je dirais le nombre 42, le nombre qui fascine les geeks. C’est un nombre irrationnel, parfait et mystérieux. Il symbolise bien l’état d’incertitude permanente du monde dans lequel nous vivons. C’est ce qui le rend si fascinant.

 

(mars 2016)

« Et si les relations presse n’existaient pas ? »

Publié le : 15 mars 2016

« Et si les relations presse n’existaient pas ? »

 

Avec 20 ans d’expérience et plus de 530 000 retombées presse, Occurrence propose un scénario fiction : un monde sans relations presse. Qu’en serait-il de la visibilité et de l’image des entreprises dans les médias ? Comment les messages des organisations seraient-ils relayés ?

Des chiffres qui révèlent l’impact des relations presse sur la visibilité de l’entreprise, la présence de ses messages et de ses porte-paroles ou encore la qualité de son image.

 

Téléchargez l’étude en cliquant ici.

La sieste au travail : un levier pour réduire notre déficit de sommeil.

Publié le : 15 mars 2016

Etude : Dormir plus pour travailler mieux ?

« la sieste au travail » : un levier de taille pour réduire le déficit de 16 milliards d’heures de sommeil annuel des Français

Le déficit de sommeil des Français cumulé sur un an atteint les 15,6 milliards d’heures ! A l’occasion de la 16e Journée du sommeil organisée le 18 mars 2016, voici une solution envisageable pour pallier ce déficit : la sieste « au travail ».

Quel est l’impact du déficit du sommeil au quotidien sur le travail des Français ? Ce déficit influe-t-il sur leur concentration et leur efficacité ? Les Français font-ils la sieste « au travail » ? Dans quelles conditions ? Combien de temps ?

Eléments de réponses dans notre Communiqué de Presse ou et dans le focus sieste de notre rapport d’étude.

Et la globalité de notre étude sur le déficit de sommeil des Français est à retrouver sur cette page !

Camille de Chergé répond à nos questions sur mesure !

Publié le : 14 mars 2016

Camille de Chergé, Occurrence,  Chargée d’Etudes Sénior

CdC

Peut-on tout mesurer ?

Pas tout mais avec les progrès de la technologie, de plus en plus de choses oui !!

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Dans ma vie personnelle, je dirais mon intuition qui me trompe rarement ; et dans ma vie professionnelle, je m’arme des meilleurs outils méthodo quali/quanti et de mon sens de l’analyse !

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

1984 : mon année de naissance ou l’année de tous les bouleversements selon George Orwell !

Sinon le 5 : mon chiffre fétiche apparemment porte-bonheur…

 

(mars 2016)

Les Français plébiscitent les acteurs de la nouvelle économie

Publié le : 15 décembre 2015

CINQUIÈME ÉDITION DE L’OBSERVATOIRE DE L’AUTHENTICITÉ : LES FRANÇAIS PLÉBISCITENT LES ACTEURS DE LA NOUVELLE ÉCONOMIE !

 

L’intégralité des données de cette étude, y compris le focus sur les entreprises de la nouvelle économie, sont à télécharger ici.

 

Rapport_Authenticite_2015_V2

Comment est perçue la communication de nos entreprises ? Quelle crédibilité apporter à leur discours ? Quelles leçons peut-on tirer de cette perception ? Quelles sont les entreprises dignes de monter sur le podium de « l’authenticité » ? Pour répondre à ces questions, Makheia et Occurrence ont lancé, en 2010, l’Observatoire de l’Authenticité au travers duquel chaque année les Français expriment leur cote d’amour à l’égard de la communication institutionnelle des entreprises.

 

Le Bon Coin, BlaBlaCar, Ventes-privées, Google, Amazon et Deezer sont les grands vainqueurs de cette cinquième édition de l’Observatoire de l’Authenticité Makheia – Occurrence. Pour la première fois les acteurs de l’économie digitale font leur entrée dans le palmarès de la confiance et devancent de loin les entreprises « traditionnelles ». Seule La Poste, tire son épingle du jeu en figurant parmi les 10 marques jugées les plus « authentiques »…devant Free et Microsoft.

 

Cette nouvelle édition révèle cinq grandes tendances :

1) Bonne nouvelle, on souligne une amélioration globale de la confiance envers les entreprises et leur communication. Même si celle-ci peine toujours à atteindre les 50% (46% précisément), la confiance est en hausse de près de 25% depuis son plus bas niveau de 2011.

 L’authenticité perçue des entreprises progresse ainsi depuis trois ans de façon continue.

 En terme d’analyse sectorielle, on souligne un capital d’authenticité plus important dans les secteurs de consommation associée au plaisir, tel est le cas des marques de grande consommation comme LECLERC et des technologiques, comme ORANGE ou FREE.

A l’inverse, le secteur énergétique ou encore les banques pâtissent d’une mauvaise image dont ils peinent à se détacher et restent, malgré une certaine amélioration, en queue de peloton depuis 5 ans. Les plus fortes progressions sont : PSA, AXA, SG, MAIF, BNP, ALLIANZ, SANOFI, ET ENGIE. Seules six entreprises progressent pour la deuxième année consécutive à savoir : PSA, RENAULT, ENGIE, BP, MAIF ET ORANGE

2) Les Français octroient toujours une prime à leur propre entreprise, avec près de 10 points d’écart. 60% d’entre eux jugent effectivement leur entreprise plutôt crédible.

3) Les jeunes actifs (20-30 ans) accordent toujours davantage de crédit aux entreprises que leurs ainés…avec plus de 40 points d’écart !

Aussi bien au global que sur les entreprises en particulier cette classe d’âge se montre d’une manière transversale et durable plus bienveillante. L’écart avec les quinquas ne cesse, en revanche, de s’accroitre soulignant une rupture de plus en plus marquée entre la confiance des jeunes salariés et une méfiance (irréversible ?) des salariés plus âgés.

4) Alors que les médias classiques demeurent « chahutés », le « média entreprise » est solidement ancré dans le paysage des sources d’information. Les Français lui témoignent désormais un niveau de confiance équivalent à celui de la télévision ou des médias sociaux pour s’informer sur les entreprises. Radio, presse et internet restent les sources les plus crédibles.

5) La confiance dans les politiques et leur communication poursuit sa lente descente aux enfers avec moins 3 points encore cette année ! 86% des français déclarent ainsi ne plus faire confiance aux discours politiques dont 46% « Pas du tout » et 40% « plutôt pas ».

 

* * * * * *

 

L’intégralité des données de cette étude, y compris le focus sur les entreprises de la nouvelle économie, sont à télécharger ici.

 

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Précisions méthodologiques pour l’édition 2015 :

Dates de réalisation : du 4 au 14 septembre 2015.

Un échantillon de 1 000 Français, représentatif de l’ensemble des actifs français – tous les répondants étaient en activité au moment de l’étude ; Personnes interrogées par Internet, sur la base d’un panel d’internautes. Méthode des quotas (sexe, âge, CSP, région).

Questionnement centré sur la communication institutionnelle [hors publicité produit] : La parole des entreprises, de mon entreprise est-elle fiable, sincère, transparente ? Vers un Indice d’authenticité comparable à la moyenne nationale.

Focus / Nouveauté 2015 : l’ajout de questions sur les acteurs de la nouvelle économie

 

François Guillot, Directeur Associé d’Angie+1 nous répond.

Publié le : 10 décembre 2015

François GUILLOT, Angie+1, Directeur Associé,

FG3

@fguillot d’@angieplusun

 

Peut-on tout mesurer ?

Oui, on peut et on doit tout mesurer. Dans la communication, discipline de littéraires, on a trop tendance à ne pas vouloir vraiment mesurer, à se réfugier derrière des aspects qualitatifs et immatériels. La communication a besoin de cette culture de la mesure :  dans un monde en crise et en changement, elle doit apporter les preuves de son efficacité.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

J’aime tout ce qui repose sur l’observation des faits et non des déclarations, et tout ce qui mesure la profondeur d’une relation et non la surface. Sur Twitter, on se fiche du nombre d’abonnés ou du potentiel d’exposition à un message. Mais le taux d’engagement donne une vraie idée de l’intérêt que les publics nous portent. D’ailleurs, un des intérêts du digital est qu’il nous met face à la réalité des opinions.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

34. Pour la règle 34 (à vous de googler), qui est une des lois informelles du web au même titre que celle du point Godwin. Ces lois sont typiques de la culture digitale qui est en train d’envahir le monde de l’entreprise. Le changement culturel qui s’opère est énorme.

 

 Décembre 2015

Sébastien Barrio, chargé d’études sénior chez Occurrence

Publié le : 9 décembre 2015

Sébastien Barrio – Occurrence – Chargé d’études Sénior

 

Peut-on tout mesurer ?

J’ai un peu peur de cette question, elle me dérange légèrement… Effectivement, on peut tout mesurer, cependant je me poserais la question de savoir si on doit tout mesurer ? En tant que qualitativiste, j’ai une préférence pour estimer, et tout mesurer reviendrait à retirer beaucoup de poésie et de spontanéité.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

En vérité, j’en ai plusieurs. Sentimentalement, un vieux mètre que j’ai hérité de mon père auquel je tiens beaucoup, c’est un objet sentimental. Je suis très attaché à ma montre également, j’aime ces objets curieusement (pour la montre) qui ont un caractère un peu intemporel ! J’aime aussi les métronomes qui battent la mesure dans un élégant mouvement de balancier… Bref, j’aime les objets je crois…

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

J’aime le chiffre 7 que l’on présente souvent comme le chiffre parfait… Les sept notes de musique… Les sept couleurs… Les sept péchés capitaux… Les sept merveilles du monde… Les sept jours… Les sept samouraïs… Les sept mercenaires… Les sept nains peut-être même… 😉

 

Décembre 2015.

Crise : 5 façons de se démarquer sur Twitter

Publié le : 20 octobre 2015

Crise : 5 façons de se démarquer sur Twitter
Ce que nous enseigne le cas Volkswagen par Pierre Chavonnet et Thomas Millard 

Occurrence_Crise-5 façons de se démarquer sur Twitter

23 septembre 2015 la twittosphère résonne de milliers de tweets intégrant le compte @volkswagen… Une opportunité pour cartographier et analyser ce qu’il se passait*. Au cœur de cette tempête qui accablait la marque allemande, une masse gigantesque et compacte de Tweets, de RT et de follows au cœur de laquelle personne, hormis @volkswagen, n’était vraiment visible.

En revanche, il est intéressant d’observer les tweets qui ont su se créer une audience et une visibilité propres dans la périphérie de cet écho médiatique…

5 façons d’interpeller et d’exister sont ainsi ressorties de notre analyse :

 

1) De l’information qui soigne sa forme (editing)

Ce sont des articles de presse qui ont d’autant plus de succès qu’ils ont un titre qui interpelle, une photo qui choque ou un traitement spécifique de la crise. Les exemples ne manquent pas comme les articles de Forbes ou d’US Stories.

 

2) Au-delà de l’information, partager des convictions

Ce sont des posts de blog ou des tribunes qui proposent une analyse avec un vrai parti pris : Opinion Page de NYTimes : “Volkswagen and the Era of Cheating Software” par Zeynep Tufekci.

 

3) Jouer sur la fibre locale et/ou linguistique

Chacun est roi en sa maison comme Álvaro Sanchez et son article d’El Pais ”Las claves del escándalo Volkswagen”.

 

4) Ne pas négliger l’humour, même quand le sujet est grave !

Quand on en a, il est difficile de faire plus efficace…

Exemple de @cluedont : “Me: Did you just fart? CEO of Volkswagen: No. Me: Hmm.”

 

5) Et enfin « récupérer » le sujet

Au combat il faut faire feu de tout bois… généraliser un comportement individuel pour dénoncer une pratique ou pour tacler un adversaire politique.

Greenpeace qui publie un masque de Dark Vador avec un logo VW accompagné de la mention « Je suis ton air ».

Ronald Hise qui s’en prend aux Républicains (américains) : “When Republicans say we need less regulation because corporations will do the right thing for the planet just tell them #Volkswagen”.

 

A la prochaine crise, vous serez parés pour exister !

 

* La Twittosphère autour de @volkswagen entre 13h et 15h le 23 septembre 2015, jour de la démission du PDG Martin Winterkorn. Cartographie de 11618 noeuds (comptes Twitter en interaction) et 11703 noeuds récoltés (Tweets, follow, ReTweets, mentions…). Réalisée avec le logiciel Gephi.

 

Christophe Pouthier nous répond !

Publié le : 13 octobre 2015

Christophe Pouthier – Responsable des rédactions Berger-Levrault – Directeur de l’Activité Ouvrages et Contenus – Directeur de la rédaction Connexité

POUTHIER

 

Peut-on tout mesurer ?

Une interprétation de l’épisode de la Tour de Babel permettra d’illustrer la réponse. En des temps anciens, l’humanité avait élaboré une langue unique qui lui permettait d’entrevoir la porte du ciel (babel signifiant « porte du ciel »). Cette langue avait pour nom : mathématique, la langue de la science et de la mesure. Le Ciel décida alors de redéfinir les règles du jeu : il multiplia les langues et interdit ipso facto l’accès à sa porte. Il créa simultanément de la diversité, des espaces où viendront se loger des idées, des philosophies, des conceptions différentes et complémentaires de l’univers et de la vie, des représentations non pas scientifiques mais culturelles.

La mesure ressortit au domaine de la science de manière générale. Si la science progresse inexorablement, imaginer qu’elle puisse tout envahir signifie qu’elle envahirait également le monde des idées et de la culture, qu’elle permettrait de mesurer et d’anticiper l’avenir. Nous entrons dans le domaine de la science-fiction…

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Celui de Protagoras : « L’homme est la mesure de toutes choses ; telles les choses me paraissent, telles elles sont pour moi ; telles elles te paraissent, telles elles sont pour toi. » C’est l’homme qui le premier (le dernier ?) manifeste sa volonté de se mesurer à son environnement et à son destin. Adam et Ève goûtent au fruit de l’arbre et de la connaissance ; il leur en coûte de renoncer à l’utopie, le Paradis terrestre, et de prendre en charge leur environnement et leur destin. La science, les sociétés sont des créations de l’homme. Charge à lui de toujours savoir en prendre la mesure, de les conduire avec mesure.

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

2016, soit un chiffre qui augmente d’une unité tous les premiers janvier. C’est un chiffre qui représente l’incertain à portée de main, celui qui mobilise notre attention et nos facultés au quotidien. Prendre en charge son destin suppose et exige de le construire et de l’animer envers et contre tout. C’est un chiffre qui simultanément représente le non mesurable puisque le non connu

 

Sept 2015.

16 milliards d’heures de sommeil de dette

Publié le : 9 octobre 2015

Dormir plus pour travailler mieux ?

Etude Occurrence : un déficit de 16 milliards d’heures de sommeil annuel pour les Français !

Nous avons réalisé une étude sur le manque de sommeil des Français et ses conséquences sur leur quotidien.

Pour qui la dette annuelle de sommeil est-elle la plus élevée ? Hommes/femmes ? Quelles régions ? Comment les Français vivent-ils ce déficit au quotidien ? Quelles sont les conséquences du manque de sommeil au travail ?

Eléments de réponses dans notre rapport à télécharger ici !

 

110/140

Publié le : 8 octobre 2015

110/140, c’est la note d’Anne Hidalgo dans notre #TwitterDécieurs d’août 2015.

Les comptes Twitter de 140 décideurs économiques, politiques et médiatiques français étudiés selon 14 critères en août 2015.

TwDéci_illust

Infographie à télécharger ici !

#Twitter #décideurs #ranking #Août2015

Communicator, 7e édition

Publié le : 2 octobre 2015

Communicator7

Céline Mas & Assaël Adary ont le plaisir d’être les deux nouveaux co-auteurs d’un livre de référence sur la Communication, le Communicator, édition 7, sorti chez Dunod le 26 août 2015.

Pétrie de digital, racontant les nombreuses transformations à l’œuvre, faisant le point sur les métiers du secteur, cette nouvelle édition est riche en cas pratiques et en points de vue d’experts.

On peut trouver le Communicator ici (site de l’éditeur Dunod).

Pierre Chavonnet répond à nos questions sur mesure !

Publié le : 30 septembre 2015

Occurrence_Pierre_Chavonnet

 Pierre Chavonnet

Occurrence, directeur pôle marques et transformation

 

 

 

Peut-on tout mesurer ?

Oui pour autant que l’on ait le sens de cette mesure quitte, in fine, à y renoncer de façon éclairée !

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le goût pour pleinement apprécier les « nourritures terrestres » dans toute leur diversité ou, plus prosaïquement, pour rectifier une sauce que l’on prépare ou déguster un bourgogne blanc très minéral !

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

50 car je suis sur le point d’y passer… et que c’est déjà un sacré bail !

 

septembre 2015

Anthony Babkine répond à nos 3 questions

Publié le : 15 septembre 2015

 Anthony Babkine, TBWA Corporate, Social Media Strategist

 

Peut-on tout mesurer ?

Les médias sociaux et la contribution des internautes sur ces derniers, ont démultiplié la capacité des marques et entreprises à connaitre – en temps réel – les besoins, envies et sujets de préoccupation de leurs prospects ou clients connectés. Ainsi, je ne pense pas que l’on puisse – encore – tout mesurer, mais la capacité à mesurer en temps réel, l’émotion, la satisfaction/ l’insatisfaction, l’intérêt, la curiosité… n’a jamais été aussi forte. C’est une bonne nouvelle pour les entreprises et leurs dirigeants, car s’ils tendent l’oreille, les opportunités de faire grandir leur produit/ marque sont décuplées.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

L’instinct humain… car j’espère que la machine restera le meilleur ami de l’homme, en l’assistant plutôt qu’en l’aliénant. Ainsi, l’expertise de l’analyse humaine, directement connectée aux outils d’analyse big data liés aux médias sociaux (Radarly, Synthesio, Talkwalker, Radian6… et bien d’autres).

 

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

4,74

On estime, depuis l’avénement des médias sociaux, que le degrés de séparation entre chaque individu sur la planète n’est plus de 6 degrés (en référence à la théorie de Stanley Milgram en 1967) mais à 4,74 grâce à la montée en puissance de Twitter ou encore Facebook.

Un chiffre intéressant, qui prouve que notre planète converse de manière plus globale et que les opportunités d’échange et de rencontres n’ont jamais été aussi puissantes.

 

Nouvelle édition du Communicator

Publié le : 2 août 2015

Communicator7

Céline Mas & Assaël Adary ont le plaisir d’être les deux nouveaux co-auteurs d’un livre de référence sur la Communication, le Communicator, édition 7, sorti chez Dunod le 26 août dernier.

Pétrie de digital, racontant les nombreuses transformations à l’œuvre, faisant le point sur les métiers du secteur, cette nouvelle édition est riche en cas pratiques et en points de vue d’experts.

On peut trouver le Communicator ici (site de l’éditeur Dunod) et là (Amazon),

Une opinion représentative… des clients les plus satisfaits

Publié le : 16 juillet 2015

Un hébergeur, Nuxit, propose à ses clients d’évaluer les interventions techniques (les « tickets »). Suite aux notations, les clients reçoivent une invitation à partager leur opinion sur un site comparatif des hébergeurs (top10hebergeurs.com). Nuxit incite même à partager son opinion car ça pourrait rapporter 50€ (par tirage au sort).

Belle démarche. Sauf que notre ami Nuxit ne semble proposer cette participation qu’aux personnes ayant mis une note supérieure ou égale à 8/10. Pas très représentatif tout ça…

Comment progresse la confiance des Français envers les organismes publics ?

Publié le : 10 juillet 2015

L’édition 2015 du baromètre de la confiance dans la parole publique, réalisé par Occurrence et l’association Communication Publique, a été présenté lors de l’Assemblée générale de Communication Publique  au Conseil Economique, Social et Environnemental le 30 juin 2015, en présence de son président, Jean-Paul Delevoye.

L’enquête a été conduite par internet auprès d’un échantillon de 1 033 Français représentatifs de la population française, entre le 4 et le 15 mai 2015.

 

En 2013, Occurrence et Communication Publique ont lancé ensemble la première vague du « Baromètre de la confiance dans la parole publique ». Cette étude livrait alors un regard parfois pessimiste sur la relation que les Français entretiennent avec leurs organismes publics. Deux ans après, la situation a-t-elle évolué ? Quels sont les facteurs de la confiance des Français ? Où en est le « match public / privé » entamé lors du premier baromètre 2013 ?

 

« La deuxième vague de ce baromètre présente un état moins sombre de la perception, par les Français, de la parole et de l’action publiques… mais celles-ci souffrent toujours de la comparaison avec leurs homologues du secteur privé, auréolé d’un certain a priori d’efficacité et de réactivité. Les résultats montrent certes l’impact de l’actualité, avec par exemple la perte de crédibilité du secteur public sur l’éducation (que l’on peut relier aux difficultés sur la réforme des rythmes scolaires). Mais ils révèlent, surtout, l’ampleur de la prise en compte par chacun de son propre vécu pour porter un jugement sur une institution dans son ensemble. Ainsi la perception de la communication publique est-elle irrémédiablement liée au regard que les Français portent sur leur service public, dans une démarche de plus en plus associée à celle de client / fournisseur. » (Christelle FUMEY, responsable du pôle Corporate & Marque)

 

Cliquez ici pour télécharger l’étude au format PDF.

Comment sauver le soldat communication ?

Publié le : 24 juin 2015

Ici le Digital impose de changer… mais quoi, comment ?

Là, la pression budgétaire ne cesse de contraindre… au-delà du rabot (comme d’autres !), que faire avant de ne pouvoir plus rien faire ?

Ailleurs, le parcours client devient le centre de préoccupation et de la stratégie de l’entreprise, si la dircom voit bien comment reconstruire l’entreprise autour du client, pour elle-même… c’est parfois un peu ‘sec’.

 

De nombreux signes montrent que la mission et le fonctionnement de la direction de la communication sont à repenser. Un mouvement semble d’ailleurs se dessiner pour ‘réinventer’ cette direction si particulière de l’entreprise. Derrière certaines études qui nous sont confiées, c’est en fait cette question qui est posée, ou qui nous est renvoyée. Pas d’inquiétude cependant, la communication est de plus en plus un enjeux majeur pour toutes les organisations, ce qui se pose c’est qu’elle communication et comment la mettre en place ?

 

Quelle communication ? Une communication plus juste, plus proche, plus sincère, plus courageuse, plus mobile, plus cohérente… et à la hauteur de ce que sont et pensent ses publics.

Comment ? En osant briser certains tabous. En poussant les murs, en gagnant en réactivité, en agilité, en imagination… mais aussi mettant en place des approches rigoureuses et structurées.

 

Alors, prêts à embarquer ?

 

Pierre Gomez

Questions sur Mesure : Christophe Feuillet

Publié le : 21 juin 2015

Christophe Feuillet – GRTgaz – Direction Generale – Pôle Communication

 

Peut-on tout mesurer ?

Certainement pas, mais le plus important c’est de garder le sens de la mesure en toute circonstance.

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le métronome, on a jamais trouver mieux pour atteindre progressivement le tempo demandé et parfaire sa technique instrumentale ou vocale. Dommage que le métronome de la com n’existe pas.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

6. La journée gazière commence à 6h avec un pic de consommation entre 7h et 8h. 6h, c’est également l’heure à laquelle mon réveil sonne la semaine…

 

Trois questions à Aline Hamard

Publié le : 20 juin 2015

Aline Hamard, chargée d’études chez Occurrence

 

  1. Peut-on tout mesurer ?

Non et ce à mon grand regret puisque je suis partisane du tout mesurer pour mieux performer.

 

  1. Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Le chronomètre version cellules photoélectriques. Avec celui-ci on ne triche pas. La précision qu’il

délivre m’a toujours bluffée et a parfois joué en ma faveur.

 

  1. Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

(9-neuf) comme mon jour de naissance et comme ma perpétuelle envie du recommencement, de la découverte de nouveaux horizons, de l’envie de tout tester.

Cuando la e-reputación se evalúa

Publié le : 17 juin 2015

Faisant suite à un petit déjeuner sur l’e-réputation auxquels ont participé Céline Mas et Carlos Cazorla en novembre dernier à Madrid, Occurrence lance un guide des bonnes pratiques en matière d’e-réputation, en partenariat avec Augure et Mirror, partenaire espagnol.  Le document, à la fois état des lieux et modus operandi est téléchargeable ici (en espagnol) pour le moment :

Se puede descargar el documento aqui.

Questions sur Mesure – Fabien Tisserand

Publié le : 17 juin 2015

Fabien Tisserand – Direction marketing et communication – VINCI Concessions

 

Peut-on tout mesurer ?

Je dirais que oui. L’analyse, la science, la technologie le permettent. Mais au-delà des outils, ce sont les indicateurs définis, partagés et validés en amont qui vont permettre de rendre telle ou telle mesure pertinente et efficace.

 

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

L’humain, pour son intelligence qu’aucun outil ne possède.

 

 Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le 2, car on dit que « le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage ». J’ai deux enfants et je ne peux que confirmer. Et puis, on dit aussi qu’ « un homme averti en vaut deux » et que « deux avis valent mieux qu’un » donc c’est forcément un bon chiffre.

 

Médias sociaux et directions de la communication : où en est-on en 2015 ?

Publié le : 29 avril 2015

Angie+1 et Occurrence ont interrogé 140 décideurs de la communication pour avoir une vision claire de la diversité des pratiques des médias sociaux en 2015.

 

Assaël ADARY, Président d’Occurrence : « Nous avons réalisé cette étude pour l’offrir au monde de la communication, afin que les professionnels de la communication aient des éléments objectifs et chiffrés pour mieux comprendre l’évolution des entreprises et leurs usages des médias sociaux. Nous en avons retenu, de manière synthétique, 10 enseignements majeurs. »

Publics, thématiques, outils, postures… Voici les 10 enseignements à retenir : Télécharger le PDF de l’étude.

 

Enquête téléphonique réalisée entre le 9 et le 16 décembre 2014, auprès d’un échantillon de 140 décideurs de la communication (133 organisations) ayant établi une stratégie ou des actions de communication sur les médias sociaux.

10 regards d’élus et de DirComs sur la communication intercommunale

Publié le : 16 avril 2015

L’intercommunalité change. La communication des communautés évolue en conséquence. Appréhender finement ces mutations pour mieux les accompagner est un enjeu essentiel qui intéresse autant les élus que les communicants intercommunaux.
C’est la raison d’être du Baromètre de la communication intercommunale, une enquête nationale de référence réalisée tous les deux ans auprès de ceux qui ont en charge la communication au sein des intercommunalités.
Ce Baromètre est conduit par l’Assemblée des communautés de France (AdCF), l’agence Epiceum, qui l’ont initié en 2008, le réseau Cap’Com et l’institut d’études Occurrence. La 4e vague de l’enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré sur internet en février 2015*.

 

Cliquez ici pour télécharger l’étude.

La communication intercommunale dans le mouvement des réformes

Publié le : 16 avril 2015

Baromètre 2015 de la communication intercommunale (4e vague)

L’intercommunalité change. La communication des communautés évolue en conséquence. Appréhender finement ces mutations pour mieux les accompagner est un enjeu essentiel qui intéresse autant les élus que les communicants intercommunaux.
C’est la raison d’être du Baromètre de la communication intercommunale, une enquête nationale de référence réalisée tous les deux ans auprès de ceux qui ont en charge la communication au sein des intercommunalités.
Ce Baromètre est conduit par l’Assemblée des communautés de France (AdCF), l’agence Epiceum, qui l’ont initié en 2008, le réseau Cap’Com et Occurrence. La 4e vague de l’enquête a été réalisée par questionnaire auto-administré sur internet en février 2015.

Cliquez ici pour télécharger la synthèse de l’étude.

Cliquez ici pour télécharger l’étude complète.

 

Communicator

Publié le : 13 avril 2015

Couverture du CommunicatorLe 19 août 2015 sort la 7ème édition du Communicator.

Cette actualisation de la « bible » de la communication a été faite par par Assaël Adary, président d’Occurrence, et Céline Mas, Directrice Générale associée d’Occurrence.

L’ISO 26000 en pratique

Publié le : 8 avril 2015

ISO 26000 en pratiqueL’ISO 26000 en pratique
Séverine Lecomte et Assaël Adary
Dunod 2012

 

La nouvelle norme ISO 26000 est une norme AFNOR relative à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Elle définit comment les organisations peuvent contribuer au développement durable et répondre aux attentes des consommateurs en matière de respect de l’environnement et des individus, de communication éthique, etc.
En s’appuyant sur une démarche globale, les entreprises feront de la norme ISO 26000 un levier de performance, tant sur le plan économique que sur celui du capital confiance.

 

Toute la fonction Communication

Publié le : 8 avril 2015

tte la fn com

Toute la fonction communication
Aude Riom, Thierry Libaert et Assaël Adary
Dunod 2010

 

La Communication est une fonction en pleine mutation : selon une étude réalisée en 2008 auprès des professionnels 50% des métiers de la communication resteraient à inventer.

Voici le premier livre généraliste qui traite de la fonction Communication dans son ensemble. A caractère fortement opérationnel, le contenu de l’ouvrage est organisé , comme ceux des autres livres de la collection en trois parties: Les Savoirs, Les Savoir- faire et Les Savoir- être. Les nouvelles pratiques liées aux NTIC qui impactent la fonction Communication sont bien mises en évidence.

Les 100 premiers jours d’un(e) dircom

Publié le : 8 avril 2015

100 premiersLes 100 premiers jours d’un(e) dircom
Assaël Adary et Jean-Jacques Salomon
Editions du Palio 2014

 

Les dircoms en conviennent : les stratégies de communication les plus subtiles et les campagnes publicitaires les mieux planifiées échouent quand elles ne sont pas relayées par les bons réseaux. Lancer des opérations structurées, cohérentes, budgétées, ne suffit pas. La dimension humaine est décisive : pour réussir, le dircom doit avoir établi sa légitimité et inspirer la confiance. C’est donc aussi une affaire de temps.

Les métiers de la communication

Publié le : 8 avril 2015

Metiers de la comLes métiers de la communication
Céline Mas et Pierre Joo
Editions ellipses 2012

 

Les auteurs, professionnels de la communication, ont voulu un guide utile à tous ceux qui souhaitent devenir « communicant ». Ils offrent, grâce à leurs expériences diversifiées, non seulement un panorama des métiers, mais surtout de quoi se frayer un chemin dans un secteur en pleine évolution avec l’apparition des nouveaux médias. Ici, donc, pas de théorie, mais rien que du pratique : témoignages de professionnels, définitions indispensables, description des métiers au quotidien… Tous les « trucs » qui feront la différence pour trouver efficacement les meilleurs postes.

Authenticité

Publié le : 7 avril 2015

Observatoire de l’authenticité – Makheia/Occurrence – 4e vague

« Les Français jugent l’authenticité des entreprises »

La communication des entreprises est-elle perçue comme authentique de la part des Français ?

Cette étude qu’Occurrence a menée en partenariat avec l’agence Makheia donne des réponses à cette question : perception des discours d’entreprise, place des médias sociaux dans cette perception, classement des entreprises, la perception de l’axe RSE, la perception du discours de sa propre entreprise…

En deuxième partie : un focus sur le point de vue des jeunes.

Télécharger l’étude ici.

Sabrina Murphy-Gaulay nous répond

Publié le : 31 mars 2015

Peut-on tout mesurer ?

La question serait plutôt « veut-on » tout mesurer… ?

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La recommandation. Elle est responsabilisante et laisse place à l’intuition. Dans les questions individuelles ou collectives de transformation humaine, elle met au centre deux valeurs fondamentales du leadership et du bien-être relationnel : la confiance et l’authenticité.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise ?

1 000 (à défaut de citer l’infini !). Car j’aime innover sans détruire et je crois que les transformations viennent de choix sans cesse repensés et enrichis par des influences variées, des connections inusitées, des angles de vue inhabituels. Ceci vaut à mon échelle, à celle de chaque collaborateur, de chaque équipe et de chaque entreprise.

3

Publié le : 30 mars 2015

3 : c’est, en mètres, la distance à laquelle des gouttelettes sont projetés par une personne qui éternue. 20 mètres est la distance parcourue par les micro-organismes et les bactéries. Vous estimez-vous toujours invulnérable aux rhumes d’hiver ?

Evaluez vos actions de communication

Publié le : 26 mars 2015

Evaluez Vos Actions De Communication DUNOD 2012Evaluez vos actions de communication
Assaël Adary, Benoit Volatier et Céline Mas
DUNOD 2012

 

Oui, évaluer l’efficacité de la communication c’est possible ! Quel est l’impact d’une campagne de publicité ? Ma marque est-elle préférée sur le marché et pourquoi ? Comment évaluer un site internet ? Cet évènement a-t-il généré l’impact attendu ? La newsletter est-elle lue et appréciée ? Qui sont mes alliés et mes potentiels détracteurs sur les réseaux sociaux ? Puis-je piloter plus efficacement l’ensemble des actions de communication sur lesquelles j’investis ? Autant de questions qui animent le quotidien des communicants et auxquelles il est possible de répondre grâce à des outils de mesure adaptés. Illustrée de nouveaux exemples, cette seconde édition est enrichie des sujets qui font l’actualité comme l’évaluation des actions web.

Baromètre 2015 de la communication intercommunale

Publié le : 26 mars 2015

Baromètre de la communication intercommunale – 4ème vague

Les résultats du Baromètre 2015 de la communication intercommunale, conduit par l’AdCF, l’agence Epiceum, Occurrence et le réseau Cap’Com, seront présentés lors d’une Journée d’étude qui aura lieu à Rennes le vendredi 10 avril.

 

Plus de renseignements et inscriptions : http://www.cap-com.org/content/journees-detude-sur-la-communication-intercommunale

3 questions à Elisabeth Martine-Cosnefroy

Publié le : 25 mars 2015

Peut-on tout mesurer ?

Heureusement non ! Et cela ne me fait pas vraiment fantasmer non plus. L’infini a quelque chose de définitivement excitant et cela fait avancer les méthodes, chercher et trouver justement de nouvelles approches d’études. Mais surtout, cela nous pousse à nous améliorer en changeant de système de valeurs.

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Je n’en préfère « plutôt pas » pour être sincère. Comme tout instrument, il ne fait pas l’intelligence de celui qui l’utilise. Ce qui m’anime le plus, c’est d’aller à la découverte de l’autre et d’essayer de le comprendre.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le 7 m’a toujours fascinée. Il est droit debout, il regarde loin devant lui et tend simplement la main. Je ne sais pas s’il me ressemble, mais j‘y vois ce à quoi j’aspire et ce qui m’anime : garder de la hauteur, être tournée vers l’avenir, avec bienveillance dans l’attention portée à ceux et ce qui m’entourent.

3 questions à Rémi Rubio

Publié le : 25 mars 2015

Peut-on tout mesurer ?

A priori, on pourrait dire « oui » puisque l’être humain ne cesse de vouloir tout mesurer. La question essentielle reste celle de la validité de la mesure et de son interprétation. Dans l’absolu, elle peut ne rien vouloir dire mais dans le temps elle peut montrer ou pas une évolution.

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

La montre car le temps semble une des dimensions que l’on peut aborder simplement, mais dont la complexité a été mise en évidence depuis fort longtemps.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Le 5, sans hésiter, car depuis des années j’entends ma fille Lucile me dire que nous sommes 5 dans la famille : ma femme et moi-même, son frère Julien et notre chat. Cela me fait sourire et un chiffre qui fait sourire est alors un bon chiffre, non ?

3 questions à Elodie Boyer

Publié le : 25 mars 2015

Peut-on tout mesurer ?

Sûrement, mais est-ce juste ? Est-ce intéressant ? Et est-ce utile ?

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Mon intuition

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise (et l’expliquer) ?

Quand j’étais petite, c’était le 8, pour sa rondeur, sa douceur, sa fluidité, son harmonie. Aujourd’hui, c’est assurément le numéro 5, j’aime l’écrire, je trouve le chiffre beau à regarder, beau à prononcer (il claque et il glisse), et c’est le chiffre de ma petite famille, nous sommes 5.

Souriez, vous êtes mesurés

Publié le : 8 mars 2015

Souriez !

Souriez, vous êtes mesurés (recueil de nouvelles),

Assaël Adary et Benoit Volatier

LPM 2001

 

Evaluer, mesurer… Voilà tout l’enjeu de ce livre. Enjeu personnel comme professionnel : mesurer , mesurer la qualité de son travail, se mesurer aux autres, se mesurer soi-même, se connaître. Oui, mais, comment ? Faites l’exercice vous-même… Vous connaissez votre taille, votre âge, votre poids, vous sauriez donner à quelques euros près votre salaire mensuel, vous vous souvenez de votre moyenne au Bac, vous répondez aux tests psycho des magazines. Mais, toutes ces informations, ces indicateurs, vous définissent-ils ? Ce livre vous propose dix petites histoires pour réfléchir ou sourire sur la place de la mesure dans votre vie.

 

Elisabeth Thiéblemont nous répond

Publié le : 28 février 2015

Peut-on tout mesurer ?

Oui, à condition de bien comprendre ce que l’on veut mesurer et de trouver le bon indicateur de mesure.

 Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Mon instinct et le temps. Au-delà, j’aime conduire en amont des études exploratoires pour bien comprendre les ressorts des comportements et les choix qui sont faits. Les typologies comportementales qui s’en dégagent sont une aide à l’action formidable : message ciblé sur typologie identifiée… cela permet d’accompagner le changement de manière plus efficace. Pour vérifier la pertinence de l’action et sa cohérence avec les objectifs de communication, les études d’impact ont ma préférence.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise ?

100 : croire à 100 % en ses projets ; y aller avec toutes ses convictions, sa façon de faire, ses compétences, ses atouts, ses envies.

Martial Delpuech nous répond

Publié le : 27 février 2015

Peut-on tout mesurer ?

Oui !

Quel est votre instrument de mesure préféré ?

Un mètre déroulant.

Pouvez-vous donner un chiffre qui vous caractérise ?

Le 7 ! Je suis né une année impaire et mon jour de naissance moins mon mois de naissance donnent 7 !

Le ROI de la simplicité c’est combien ?

Publié le : 27 février 2015

Une étude canadienne vient de répondre. La simplicité ça peut rapporter des dizaines de millions de dollars. La récriture en langage clair de 92 des 700 formulaires du Ministère de l’Agriculture de l’Alberta  = 3,5 millions de dollars d’économie par an ! Comme les citoyens comprennent mieux les formulaires, ils commettent moins d’erreurs et le personnel peut donc les traiter plus rapidement et efficacement. CQFD. La compagnie d’assurance Royal du Canada réécrit ses polices d’assurance habitation en langage clair et augmente son CA de 20 millions de dollars, soit + 38% des ventes.

Alors prêt à simplifier et à mesurer le ROI ?

Assaël Adary

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